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02/03/2021

Conçus en un temps record et déployés massivement, les vaccins contre le Covid-19 dits à « ARN messager » sont tantôt présentés comme une révolution médicale...

16/01/2021

LE D-PANTHÉNOL, QU’EST-CE ?

Le D-panthénol ou Dexpanthénol ou provitamine B5 (2,4-dihydroxy-N-(3-hydroxypropyl)-3,3-diméthyl-1-butanamide) est un ingrédient fréquemment retrouvé dans les compléments alimentaires et les cosmétiques.
Le D-panthénol est rapidement absorbé par la peau et transformé en acide pantothénique (vitamine B5), précurseur du coenzyme-A. Qualifiée de vitamine « anti-stress », la vitamine B5 est indispensable à la santé cutanée.
La carence en cette vitamine conduira à des dermatoses, des phénomènes d’irritation ou de dépigmentation des cheveux. En dermatologie, le panthénol est incorporé dans les préparations topiques, à des concentrations comprises entre 2 et 5 %.
Des concentrations plus élevées (7 à 13 %) sont même parfois utilisées. On le retrouvera également dans des produits capillaires, du fait de ses propriétés lissantes, réparatrices et protectrices (l’association silicone-D-panthénol constitue le binôme de choc, lorsque l’on veut protéger la fibre capillaire de traitements un peu agressifs telle que la coloration permanente).

QUESTIONS DE COMPTOIRQuelle est la différence entre un comprimé orodispersible et un comprimé sublingual ? Réponse : Un ...
16/12/2020

QUESTIONS DE COMPTOIR

Quelle est la différence entre un comprimé orodispersible et un comprimé sublingual ?

Réponse : Un comprimé orodispersible se place sur la langue et le principe actif est absorbé au niveau de la muqueuse gastro-intestinale ; ce type de comprimé convient aux patients souffrant de problème de déglutition. Un comprimé sublingual se place sous la langue pour que le principe actif soit absorbé par la muqueuse sublinguale ; cette forme galénique permet d’éviter le premier passage hépatique ; elle commence à agir plus rapidement qu’une formulation traditionnelle.

Comment fonctionnent les vaccins à acides nucléiques ?Si l’ADN, support de l’information génétique, est une molécule qui...
16/11/2020

Comment fonctionnent les vaccins à acides nucléiques ?

Si l’ADN, support de l’information génétique, est une molécule qui est aujourd’hui plutôt familière, l’ARN est moins connue.

Chimiquement proche de l’ADN, mais moins stable, L’ARN joue divers rôles dans nos cellules, mais c’est en particulier un intermédiaire indispensable à la production de protéines.

Schématiquement : la fabrication d’une protéine débute dans le noyau de la cellule, où se trouve l’ADN. Dans un premier temps, la portion de la molécule d’ADN correspondant à la protéine à produire est copiée sous forme d’ARN. Cette molécule d’ARN quitte ensuite le noyau : elle passe dans le cytoplasme de la cellule, où elle sera utilisée comme un « guide de montage » de la protéine.

Dans le cas des vaccins à ADN ou à ARN, l’idée est d’injecter au patient des molécules d’ADN ou d’ARN correspondant à des protéines de l’agent pathogène contre lequel on souhaite l’immuniser. Ces protéines sont choisies en fonction de leur capacité à provoquer une réponse immunitaire, ou « immunogénicité ». Après injection de l’ADN (ou l’ARN) correspondant, les cellules de l’individu à vacciner fabriqueront elles-mêmes lesdites protéines.

Le candidat-vaccin de Pfizer et BioNtech emploie un ARN messager codant pour la protéine Spike du coronavirus SARS-CoV-2 (prefusion spike glycoprotein - P2 S), la « clé » qui lui sert à entrer dans les cellules qu’il infecte.

Les avantages des vaccins à base d’ADN ou d’ARN

Plus faciles à fabriquer, grâce à une méthode de production standardisée, peu coûteuse, extrêmement bien définis d’un point de vue moléculaire, les vaccins à ADN et ARN ont un potentiel de développement très important et pourraient protéger à la fois contre des maladies infectieuses (vaccins prophylactiques) ou lutter contre des pathologies cancéreuses (vaccins thérapeutiques).

Ils sont aussi mieux maîtrisés que les vaccins « traditionnels », car ils n’utilisent pas de virus entiers comme dans les vaccins issus de virus vivants atténués, inactivés ou recombinants, ni d’adjuvants, mais simplement une molécule d’acides nucléiques (ADN ou ARN).

Les vaccins contenant de l’ADN sous forme de double hélice (une hélice constituée de deux brins) peuvent être stables à température ambiante (cette molécule est si résistante qu’elle permet de dater des objets très anciens tels que des momies), et ne nécessitent donc pas de respecter une quelconque chaîne du froid.

Il n’en va pas de même pour les vaccins basés sur des ARN messagers : leur structure, constituée d’un seul brin, est sensible aux enzymes qui découpent l’ARN (appelées « RNAses »). C’est la raison pour laquelle ces vaccins sont conservés à -70°C, pour éviter toute dégradation enzymatique.

Le vaccin de Pfizer et BioNtech entrant dans cette catégorie, certains observateurs ont souligné le défi logistique que représentera sa distribution.

Comment arriver à bon port ?

Cette nouvelle méthode de vaccination sera beaucoup plus réactive pour produire des vaccins extrêmement rapidement, ce qui permettra de répondre à des menaces d’infections liés à des nouveaux agents infectieux, ou de proposer de nouvelles méthodes de traitement du cancer. Ces avantages expliquent l’essor des recherches sur ce nouveau type de vaccination ces trente dernières années, et permet d’envisager les vaccins ADN et ARN comme les « vaccins du futur ».

Des difficultés subsistent néanmoins pour assurer complètement l’efficacité des vaccins à acides nucléiques. L’un des obstacles principaux consiste à réussir à amener les molécules d’ADN ou d’ARN au bon endroit de la cellule : dans le noyau pour les premières, et dans le cytoplasme pour les secondes. Il faut pour cela franchir les membranes des cellules, dont l’un des rôles est précisément de servir de barrière aux envahisseurs, et éviter la dégradation par les enzymes cellulaires.

Pour y parvenir, plusieurs solutions sont possibles. On peut utiliser un virus modifié pour servir de « moyen de transport » à l’acide nucléique que l’on souhaite introduire dans les cellules. Une autre approche consiste à fabriquer de toutes pièces une enveloppe artificielle, une sorte de virus synthétique. C’est cette piste qu’on choisi Pfizer et BioNtech, qui ont utilisé des particules nanolipidiques pour transporter l’ARN vaccinal.

Notre équipe a quant à elle mis au point des véhicules un peu particuliers, appelés Nanotaxi®. À base de polymères en forme d’étoile ou de lipides dérivés de sucres naturels, ils peuvent soit franchir directement la membrane en transportant avec eux les ADN ou ARN destinés à la vaccination, soit entrer dans la cellule par les voies employées naturellement par les substances « autorisées » à y pénétrer.

Ces deux modes d’entrée dans la cellule vont jouer un rôle décisif pour l’activation du système immunitaire. Ils vont en effet mettre en alerte le système de surveillance de la cellule, déclenchant la fabrication de molécules impliquées dans la réponse immunitaire. Celles-ci vont contribuer à l’augmentation de l’immunogénicité, et donc à l’efficacité du vaccin à ADN ou ARN.

Vers des vaccins utilisés en santé humaine ?

Les vaccins à acides nucléiques ont déjà fait l’objet de nombreuses études précliniques et cliniques contre des cibles variées, dans le domaine des maladies infectieuses et de l’oncologie. Tous ces essais ont démontré la parfaite tolérance de ce type de vaccins.

Avant la survenue de la pandémie de Covid-19, quatre vaccins à ADN avaient déjà reçu les autorisations réglementaires nécessaires à leur exploitation thez l’animal. Il sont utilisés par exemple pour protéger les saumons d’élevage contre la nécrose hématopoïétique infectieuse et contre une maladie du pancréas, les poulets contre la grippe aviaire, ou pour soigner les chiens atteints d’un mélanome buccal.

Mais ces résultats prometteurs obtenus chez l’animal n’avaient pas encore été reproduits chez l’être humain : l’immunogénicité de ces vaccins restait insuffisante pour conférer aux patients une protection contre les agents pathogènes ciblés. L’autorisation de mise sur le marché semblait encore lointaine.

Les résultats annoncés par Pfizer, s’ils se confirment, pourraient changer la donne, et accélérer les recherches sur les vaccins à acides nucléiques. L’avenir (proche) nous le dira.

14/10/2020

كيفاش يسرقك بالقانون و ميخافش ربي :
حسب بلاغ وزارة الصناعة الصادر ب 11افريل 2020 و حسب التوصيات AFNOR التي أصبحت بدورها مواصفة تونسية NT و مشكورة INNORPI يكون المجسم الأكثر استعمال وجوبا (20*20صم)
عديد المصنعين يقومون بترويج مثلا (18*18او 20*16او 17*17)
انت كمواطن ماتفيقش بيها لكن كتلبسها تطيح، كي تغسلها تشرب
اش يربح هو ؟
المتر مربع من القماش كي يطبق القانون يصنعلو 25 كمامة
كي ينقصلك 2صم في الطول و العرض يولي يصنعلو 30
معناها في المتر مربع 5 كمامات معناها 10د كي يبيعهم معناها كي يبيع 1000كمامة يربح 330 دينار بالسرقة
خويا المواطن ، اصدقائى في المؤسسات ، في الإدارات ننصحكم قيسوا عند شراء أو استقبال البضاعة ولو قص قطعة قماش وثبت بيها وهكا تسكروا الباب على تجار الحرب و ميغركشي يجيبلك تقرير من المركز الفني للنسيج متاع مثال خيطو صحيح و خذاه عليه
ساهموا في توعية الناسLu sur Facebook

02/10/2020

Lorsque vous avez un mal de tête et que vous refusez de prendre un antalgique parce que vous connaissez leurs dangers, la situation semble désespérée. Mais ce n’est pas le cas. Il existe une manière scientifique de se débarrasser d’un mal de tête appelée acupression. Aujourd’hui nous a...

19/05/2020

C’est désormais publié : l’hydroxychloroquine chez les patients hospitalisés pour une pneumonie hypoxémiante à SARS-CoV-2 ne serait pas efficace selon une étude française.
Plusieurs équipes hospitalo-universitaires de l’AP-HP se sont coordonnées afin d’évaluer l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour les patients hospitalisés avec Covid-19 et nécessitant de l’oxygène. A l’issue : une publication dans le Bristish Medical Journal le 14 mai plaidant en faveur d’une absence d’effet bénéfique de la molécule.
Que dit l’étude ?
Il s’agit d’une étude observationnelle multicentrique comparative sur 181 patients, conduite sur la base des données recueillies lors des soins de routine. Un groupe de 84 patients a reçu 600 mg par jour d’hydroxychloroquine dans les 48 heures suivant l’admission, et l’autre groupe de 89 patients a reçu les soins standards, sans hydroxychloroquine (HCQ). A noter : 8 patients recevant de l’HCQ ont présenté des modifications de l’électrocardiogramme nécessitant l’arrêt de l’HCQ.
Le premier point d’évaluation est la survie sans transfert en soins intensifs au jour 21.
Un résultat sans appel
Le taux de survie sans transfert en soins intensifs à J21 était de 76% dans le groupe HCQ et de 75% dans le groupe sans HCQ. Par ailleurs, dans le groupe avec HCQ, la survie globale à J21 était de 89% contre 91% dans le groupe sans HCQ.
Des chiffres sans appel selon les scientifiques, qui prônent pour la non-utilisation de l’HCQ chez les patients hospitalisés pour une pneumonie hypoxémiante à SARS-CoV-2.
Source : R***e Pharma 18 mai 2020

27/04/2020

ضنّي أن يكون فيروس الكورونا كزين الدين بن عليّ , يحكمنا فجأة بالقسوة والبئس لا نعرف كيف , ويهرب فجأة لا نعرف لماذا وكيف ..... ثمّ يحكمنا من يدّعي أنّه المنقذ والمخطّط والمدبّر ويبقى السرّ فى الغيب والظنّ والتخمينات ....

25/04/2020

Les experts annoncent depuis des mois une déferlante de l’épidémie de coronavirus en Afrique, où la pauvreté et le manque d’infrastructures de santé font craindre le pire. Pourtant, alors que le...

31/03/2020
26/03/2020

Dès le diagnostic de Corona positif, le
Protocole établi par Pr Raoult

– un traitement par l’association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé.

24/03/2020
16/03/2020

Javel + alcool ce mélange donne du chloroforme , les vapeurs inhalées sont très toxiques et particulièrement irritantes.
Javel + vinaigre blanc ce mélange donne du chlore gazeux ... très toxique , risque de la mort .

Faites attention ! L'eau de javel ne se mélange qu'avec l'eau pour le diluer .

13/03/2020

Attention aux recettes de gel hydroalcoolique qui pullulent sur la Toile, mieux vaut passer son chemin. Bien que certaines huiles essentielles aient bien des propriétés bactéricides, fongicides et virucides, celles-ci n’ont pas fait preuve de leur efficacité dans la lutte contre les épidémies, et encore moins dans la lutte actuelle contre le coronavirus Covid-19.Notons par ailleurs que certains gels hydroalcooliques, notamment ceux vendus sur internet, contiennent encore du triclosan, un agent antibactérien perturbateur endocrinien avéré, qui peut toutefois encore se rencontrer à une concentration de 0,3% dans le produit fini. (santemagazine)

08/03/2020

Covid-19
Les enfants ne sont (presque) pas affectés

Seul 3 % des cas concernent des jeunes de moins de 20 ans, et la mortalité chez les personnes de moins de 40 ans n’est que de 0,2 %. Chez les enfants, les symptômes sont si légers qu’ils peuvent passer inaperçus.

05/03/2020

Covid-19 : en fait - on trop ?? ... Pas de panique

Au 4 mars 2020, à 13 heures, la situation épidémiologique internationale publiée sur le site de Santé publique France, faisait état de 93 076 cas confirmés de Covid-19 dans le monde (dont 257 en France) et 3 202 décès (dont 4 en France). Des chiffres qui peuvent donner le vertige et leur annonce jour après jour reste anxiogène pour la majorité de la population. Avec raison ? Etat des lieux en l’état actuel des connaissances de la contagiosité et de la mortalité de ce virus.

Famille
Les coronavirus forment une vaste famille de virus responsables d’infections respiratoires chez l’homme. Jusqu’à présent, deux coronavirus avaient entrainé des épidémies graves chez l’homme : le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2002-2003 et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) identifié en 2012.

Contagiosité
Depuis que la transmission interhumaine a été établie, l’Institut Pasteur estime que chaque patient porteur du Covid-19 infecte entre 2 et 3 personnes en l’absence de mesures de contrôle et de prévention. A titre comparatif, pour un mode de transmission par voie respiratoire comme pour les coronavirus, une personne contaminée par le virus de la rougeole peut infecter entre 15 et 20 personnes.

Mortalité
Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré lors d’une conférence de presse à Genève le 3 mars (propos rapportés par l’agence Reuters) que le taux de mortalité du nouveau coronavirus était de l’ordre de 3,4 %. Un article paru dans le New England Journal of Medicine le 28 février 2020 estimait quant à lui que les patients asymptomatiques ou peu symptomatiques n’étant pas forcement détectés et comptabilisés, le taux de létalité était surestimé [NdlR: dans les différentes publications] et serait en fait proche de 0,1 %, équivalent à une grippe saisonnière.
Quel que soit le taux effectif, il reste bien en deçà des taux de mortalité des autres coronavirus qui sont de 15 % pour le SRAS et 35 % pour le MERS.
Pour information, depuis le 4 novembre 2019, 72 patients sont décédés de la grippe saisonnière en France (Bulletin épidémiologique de Santé publique France du 4 mars 2020).

22/02/2020

Quand une blessure ou une infection force le corps à se défendre, l'hypothalamus (une région du cerveau) produit une élévation de la température corporelle. Le corps réagit en freinant le flot sanguin vers la peau pour réduire la perte de chaleur à travers la peau.C'est pour ça qu'on sent qu'on a froid au mains et aux pieds .

Les muscles pourraient se contracter à des intervalles plus ou moins rapprochés afin de conserver la chaleur, et ces mouvements déclenchent un grelottement. Quand le sang qui a été réchauffé à la nouvelle température atteint l'hypothalamus, ces symptômes cessent habituellement, et seule la fièvre persiste. Lorsque le thermostat du corps est de nouveau réglé à la température normale, le sang afflue de nouveau à la peau et la sudation s'accroît pour dissiper l'excès de chaleur. Quelquefois des frissons accompagnent ce processus.

17/01/2020

أفاد نائب رئيس النقابة التونسية لأصحاب الصيدليات الخاصة نوفل عميرة أنّ الجلسة العامة الخارقة للعادة التي نظمها المكتب الوطني للنقابة والمنعقدة يوم السبت الماضي بت...

11/12/2019

Ils se defendent bien les CA ..

Les compléments alimentaires se positionnent encore un peu plus sur le territoire de la santé et de la prévention. Synadiet, syndicat des principaux acteurs du secteur, vante l’intérêt des compléments alimentaires « pour vieillir en bonne santé » en présentant, le 10 décembre, les résultats de trois études médico-économiques qu’il a commandées. Selon la première, les compléments alimentaires à base de lutéine (quantité journalière de 10 mg pendant 1 an) et de zéaxanthine (quantité journalière de 2 mg pendant 1 an), auraient permis d’éviter jusqu’à 46 000 cas de déficiences visuelles et fait économiser jusqu’à 1,7 million d’euros en 2017. L’étude tente une projection en 2040, et conclut à 57 000 cas évitables et jusqu’à 2,4 millions d’euros économisés.
La seconde étude met en évidence « l’effet positif » de la glucosamine et/ou de la chondroïtine (à la dose respective de 1 100 mg et 950 mg par jour pendant au moins 3 ans) sur les articulations, notamment dans l’arthrose. « En 2017, 1,23 million de personnes aurait pu bénéficier d’un effet positif sur leurs articulations (…). La prise de glucosamine et de chondroïtine par les personnes à risque aurait permis 1,6 million d’euros d’économies en France en 2017. » En 2040, les auteurs de l’étude s’attendent à 1,61 million de cas évités et 3,2 millions d’euros économisés.
Enfin, la troisième étude conclut que 13 110 cas de démence pourraient être évités grâce aux oméga 3 (1,2 g par jour, dont 250 à 300 mg de DHA et d’EPA) en 2017 (avec une projection à 15 000 cas évitables en 2040), ce qui aurait permis une économie de 498 millions d’euros (604 millions d’euros en 2040).
Pour mémoire, les compléments alimentaires n’ont pour but que de compléter un régime alimentaire normal.

06/12/2019

Une entreprise pharmaceutique américaine estime avoir trouvé un vaccin qui freine la progression de la maladie d'Alzheimer. L'avancée engendre une bonne dose d'espoir selon des médecins de Québec qui ont participé à l'étude avec leurs patients. Bruno Savard en discute avec Dr Verret, neurolo...

19/11/2019
07/11/2019
17/10/2019

Chaque semaine, le Dr Jean Marc Sène, médecin du sport et médecin de l'équipe nationale de judo, présente sa chronique sport dans Priorité Santé.

09/10/2019

En cas de grippe, les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables du fait de modifications physiologiques et immunitaires inhérentes à la grossesse. Depuis 2012 le Haut Conseil de la santé publique recommande la vaccination des femmes enceintes quel que soit le terme de la grossesse. Or, en 2016, seulement 7 % des femmes enceintes ont été vaccinées contre la grippe saisonnière. L’Assurance maladie a cette année décidé de mettre en lumière cette population à risque et l’a rappelé lors d’une conférence de presse ce mardi 8 octobre 2019.
L’enjeu pour les pharmaciens d’officine est donc de « repérer » les femmes enceintes pour ouvrir la discussion et les inciter à se faire vacciner.
Les points à mettre en avant sont :
• l’innocuité démontrée du vaccin pour la future maman (un vaccin inactivé est dépourvu de pouvoir infectant) et pour le bébé à naître (pas de risque de malformations)
• l’efficacité de la réponse immunitaire chez la femme enceinte (équivalente à celle produite chez une femme non enceinte)
• les bénéfices partagés de la vaccination. Les anticorps antigrippaux maternels passent le placenta et protègent à la fois la femme enceinte et le bébé (qui ne pourra pas être vacciné avant l’âge de 6 mois)
• les risques pour une femme enceinte d’attraper la grippe : la fièvre peut déclencher des contractions utérines et un accouchement prématuré .
Il est également u­­­tile de rappeler l’importance de la vaccination pour l’entourage de la future maman.

06/09/2019

والله دخلت بعضي😕

20/05/2019

A tous les amis , veuillez écrire en arabe ou en français . sinon on peut pas vous répondre et merci .

04/01/2019

IPP

L’intérêt de la prévention des lésions gastroduodénales en cas de prise d’AINS, chez l’adulte, n’est établi qu’en présence des facteurs de risque suivants :
- être âgé de plus de 65 ans
- avoir un antécédent d’ulcère gastrique ou duodénal
- être traité par antiagrégant plaquettaire, anticoagulant ou corticoïde.
L’ANSM, dans un communiqué du 19 décembre 2018, rappelle qu’il est important de ne pas banaliser l’utilisation des IPP. En effet, bien que les IPP soient généralement bien tolérés à court terme, leur utilisation au long cours n’est pas sans risque.

Source : Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM)

21/10/2018

Désolé de vous informer qu'on travaille plus avec la CNAM a partir de 20 octobre 2018

23/08/2018

Piqures de méduses......

Comme chaque année, en été, les méduses déferlent sur les côtes françaises, surtout aux abords de la Méditerranée. Parmi les plus de 1.000 espèces recensées dans le monde, l'on en rencontre quatre en particulier sur nos côtes : Aurelia aurita, Pelagia noctilucas, Carybdea marsupialis et Chrysaora hysoscella. Elles sont inoffensives pour l'homme ou urticantes à des degrés différents. Que faire en cas de piqûre ? Urine, vinaigre, alcool, essence... Les méthodes de grand-mère ne manquent pas sur la toile ! Une équipe de l'université de Hawaii (États-Unis) a analysé les conclusions de plus de 2.000 études sur le sujet pour mettre un point final à ce débat. Verdict de son étude publiée dans la r***e Toxins : il faut appliquer de l'eau chaude sur la plaie, mais surtout pas de l'urine.

L'eau chaude inactive le venin

"De nombreux sites Internets, même sérieux, conseillent d'appliquer de l'eau froide ou de la glace sur la plaie, car les gens pensent que le contraste soulagera la piqûre qui, elle, est brûlante, explique dans un communiqué le Dr Christie Wilcox, auteur principal de l'étude. Or de nombreuses études s'accordent sur la nécessité de recourir à de l'eau chaude, entre 40 et 50 °C." À ces températures, les venins d'animaux marins (y compris toutes les espèces connues de méduse) sont inactivés. Voici donc les recommandations énoncées par les auteurs de cette étude : pour retirer les filaments de méduse, la partie urticante de l'animal, servez-vous d'une pince à épiler, ou à défaut, mettez un peu de sable sur la zone touchée pour les piéger puis enlevez-les délicatement avec un bout de papier ou carton (si vous lisez un livre ou un magazine sur la plage...). Puis, rincez longuement à l'eau chaude (entre 40 et 50 °C), avant de désinfecter. Que penser des autres méthodes énoncées sur le net, comme le vinaigre ou l'urine ? Le premier, comme l'alcool, serait inefficace. Quant au second, il est à éviter : sa chaleur n'est pas suffisante (37°C) et en plus, il favorise les risques d'infection !

09/08/2018
Ça va calmer les trafiquants de médicaments sur les réseaux sociaux | African Manager

Ça va calmer les trafiquants de médicaments sur les réseaux sociaux | African Manager

Le président du Conseil national de l'ordre des pharmaciens de Tunisie, Chedly Fendri, a annoncé, lors d'une table ronde organisée, ce mercredi 8 août 2018, à Carthage sur le secteur des médicaments en Tunisie que des poursuites judiciaires seront engagées contre les personnes qui vendent des...

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