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11/09/2021
Des compléments nutritionnels de qualité et de fabrication française !
02/07/2021

Des compléments nutritionnels de qualité et de fabrication française !

Vitamines, Magnésium, Whey, Omega 3, Patate douce Bio : le meilleur de la nutrition !

Mastiquez mastiquez mastiquez ! 🙃😷Prenez le temps de manger ⏱🕰⏰Mangez en conscience : stop la TV et le smartphone !Savou...
11/11/2019

Mastiquez mastiquez mastiquez ! 🙃😷
Prenez le temps de manger ⏱🕰⏰
Mangez en conscience : stop la TV et le smartphone !
Savourez chaque bouchée, prenez attention aux saveurs, aux odeurs, à la texture de vos aliments.

Vous maximiserez ainsi la sensation de satiété mais aussi la qualité d'absorption de vos nutriments tout en augmentant la production de leptine (hormone de la satiété). Des questions ?

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Mangez dans une petite assiette, garnissez la bien - vous aurez une impression d'assiette bien pleine 😍 - jouez avec la ...
09/11/2019

Mangez dans une petite assiette, garnissez la bien - vous aurez une impression d'assiette bien pleine 😍 - jouez avec la variété des couleurs (légumes riches en anti-oxydants) et les 5 saveurs de la diététique chinoise (salé, sucré, acide, amer, piquant) en ajoutant des condiments et épices : atouts minceur + santé garantis ! 🥰🤗👌

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Un petit déjeuner comprenant des oeufs (coque, mollet, brouillés, au plat, omelette) permet de réduire l'appétit, d'augm...
08/11/2019

Un petit déjeuner comprenant des oeufs (coque, mollet, brouillés, au plat, omelette) permet de réduire l'appétit, d'augmenter la satiété et évite le grignotage tout en apportant de l'énergie du fait de sa richesse en protéines et en bonnes graisses.
Privilégiez les oeufs de ferme, bio ou bleu blanc coeur.

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04/11/2019

Novembre sans tabac ... et pour toujours

J'AI PEUR DE GROSSIR !

Oui et non ...
C'est vrai que la ni****ne aurait une action stimulante sur le métabolisme.

Si vous arrêtez de fumer tout en mangeant pareil, il est possible de prendre quelques kilos ... mais si vous compensez par du sucré, des encas caloriques, des biscuits et autres pâtisseries, certes vous pouvez prendre jusqu'à 10 kilos voire plus !

Il n'y a pas de secret, pour ne pas prendre de poids après un sevrage tabagique, il faut anticiper : la stratégie gagnante = la bouteille d'eau !
Jetez votre paquet de ci******es et adoptez une bouteille d'eau à la place - boire régulièrement de petites gorgées tout au long de la journée.

Mangez plus de légumes et moins de féculents (pain, pâtes, pommes de terre, riz) et de sucre sous toutes ses formes.

ET bougez !!! marche à pied, randonnée, sport en salle, natation, ...

Si vous avez du mal à arrêter de fumer, voici LA méthode :
http://bit.ly/hypno-chiapi

23/07/2019
21/07/2019

Le cholestérol présent dans les aliments d'origine animale (œufs, abats, crustacés, viande rouge...) a été désigné pendant des décennies comme le coupable de l'épidémie de maladies cardiovasculaires.  Aujourd’hui les cardiologues et autorités de santé font marche arrière et reconnai...

14/06/2019
07/06/2019

Votre santé est une priorité, et vous avez bien raison.

Vous connaissez les bienfaits :
- d’une alimentation saine, biologique, riche en micro-nutriments, pauvre en glucides, riche en bonnes graisses, équilibrée en protéines,
- d’une activité physique régulière et sans stress,
- d’une respiration calme, apaisée,
- d’une gestion intelligente des émotions et du stress,
- de l’optimisation de votre microbiote (votre “deuxième” cerveau).

Comme l'a préconisé Hippocrate, la nourriture est un élément clé de notre santé.

Mais il faut savoir que notre sensibilité à la nourriture est personnelle et inscrite dans nos gênes. La variabilité individuelle de certains gênes liés à la nutrition déterminent notre tolérance à certains nutriments.

Pouvez-vous boire autant de café ou de thé que vous le voulez sans faire de l’hypertension ou risquer un infarctus ?

Quelle est votre sensibilité aux glucides (sucres, féculents, céréales, légumineuses) et votre risque de faire une résistance à l’insuline, de prendre du poids ou de développer un diabète ?

Pouvez vous manger normalement salé sans craindre de faire de l’hypertension ou de l’insuffisance cardiaque ?

Devez-vous vous supplémenter spécialement en Vitamine D, Vitamine C, Vitamine B12 ou acide folique pour renforcer votre système immunitaire, sanguin et neurologique.

Quel est votre degré de risque de surcharge ou de carence en fer ?

Quel est votre degré de tolérance vis à vis du gluten, du lactose ?

Quelle est votre sensibilité aux graisses et votre risque de prendre du poids ?

Toutes ces variations individuelles sont déterminées par votre profil génétique.

Grâce au progrès de la génétique, nous avons accès depuis peu au séquençage génétique individualisé dont l’application la plus en vogue est le test ADN généalogique pour découvrir nos origines.
Il s’est développé également la branche nutrigénétique, autrement plus intéressante pour notre santé puisqu’elle permet de déterminer les aliments qui nous conviennent le mieux selon nos gènes.

La nutrigénétique, peut et devrait faire partie de l’arsenal pour prévenir et optimiser au mieux notre capital santé.

C’est ainsi que la société canadienne Nutrigenomix propose depuis 2016 un test ADN explorant 45 gènes impliqués dans la nutrition.

Les résultats du test vous permettront de savoir quoi manger, en quelle quantité et même quelle activité physique vous est la plus profitable ainsi que votre risque de blessure notamment du tendon d’Achille.

La pratique du test est extrêmement simple et consiste en un prélèvement de salive (cellules buccales).

Dans le cadre du lancement de notre page Facebook, nous vous proposons une réduction de 20 euros sur le prix du test Nutrigenomix - indiquez le code PROMOFB dans le bon de commande.

En savoir plus :
bit.ly/nutrigenetique

Quoi boire pour aider à maigrir ?- eau (peu minéralisée ou de source)- eau gazeuse (avec du citron)- du café (sans sucre...
10/04/2019

Quoi boire pour aider à maigrir ?

- eau (peu minéralisée ou de source)
- eau gazeuse (avec du citron)
- du café (sans sucre, sans lait animal) ou un café Bulletproof si vous ne petit-déjeunez pas
- du thé vert, noir, blanc - en dehors des repas
- du maté
- du Rooïbos
- des tisanes et infusions (romarin, reine des prés, gingembre, citron, thym, cannelle, pissenlit
- du chocolat chaud (cacao pur et lait végétal)
- des jus de légumes maison (fenouil, céleri, radis noir, ...)

Boire avant de manger pour aider à la satiété.
Boire entre les repas
Boire peu pendant le repas

Boire la quantité qui permet à chaque miction d’avoir une urine jaune limpide (jaune transparent - vous buvez trop, jaune foncé - pas assez).

Et vous, quelle est votre boisson préférée ?

20/12/2018

Ne vous laissez plus envahir par le gluten

Lorsque vous voyez un champ de céréales, au bord de la route, savez-vous reconnaître s’il s’agit de blé, d’épeautre, de kamut ou de froment ?

Si oui, vous êtes très fort !

Car en fait, le mot « blé » que nous utilisons couramment, et qui dans notre esprit désigne une céréale qui sert à beaucoup de choses dans notre alimentation (pain, farine, pâtisseries, pâtes…) n’est qu’une appellation générale.

Il n’y a pas d’un côté le blé, de l’autre l’épeautre, le kamut ou le froment. L’épeautre est une sorte de blé, le froment et le kamut d’autres sortes, tout comme le Bourgogne et le Bordeaux sont des sortes de vin.

Si donc vous décidez d’arrêter de manger du blé et que vous choisissez de manger « à la place » de l’épeautre, c’est comme si un alcoolique déclarait qu’il arrête de boire et qu’il remplace désormais le vin par du Beaujolais !
S’y retrouver entre les différents blés

Le terme blé regroupe une dizaine d’espèces différentes.

Leur point commun est qu’elles ont un ancêtre commun, appelé l’engrain sauvage.

L’engrain sauvage a été domestiqué par l’homme à l’époque du Néolithique, il y a un peu plus de 10 000 ans. Il a ensuite été croisé avec d’autres plantes pour donner l’amidonnier, une sorte de blé préhistorique riche en amidon, comme son nom l’indique.

Différentes sortes d’amidonnier ont été sélectionnées pour donner le blé dur, avec lequel on fait les pâtes et le couscous. Le kamut est une autre sorte d’amidonnier sélectionné. Quand il est question, dans la Bible, de Pharaon qui faisait remplir ses greniers de blé, ce sont ces blés qui sont concernés.

L’amidonnier a toutefois été croisé à nouveau avec une autre plante herbacée (c’est-à-dire une plante à la tige tendre, sans bois) pour donner le blé tendre aussi appelé froment, et l’épeautre.

Les gens imaginent souvent que l’épeautre est une variété très ancienne de blé mais ce n’est pas le cas. C’est une des plus récentes. La confusion vient du fait que l’engrain sauvage, qui est un des ancêtres du blé moderne, est aussi appelé parfois « petit épeautre » (alors que cela n’a rien à voir car le « petit épeautre » est un engrain domestiqué et modifié).

L’épeautre est donc, comme le blé tendre (ou froment), une forme moderne de blé, plusieurs fois hybridée. Elle contient en outre beaucoup de gluten. Cela veut dire qu’elle lève bien, mais cela veut aussi dire qu’il ne sert à rien de prendre de l’épeautre si vous cherchez à manger sans gluten…

Les nouveaux blés

Mais l’histoire du blé ne s’est pas arrêtée là.

Dans les années 50 et 60, de nouvelles variétés de blé à haut rendement ont été développées en laboratoire.

Incroyable mais vrai, les espèces actuelles de blé comportent 42 chromosomes, tandis que le blé ancestral, l’engrain sauvage, n’en avait que 14 !

Ces blés sont des mutants, avec des conséquences imprévues et inquiétantes, autant sur notre santé que sur l’environnement.
Le blé moderne torture notre intestin

À force d’hybridation et de modifications génétiques, le blé moderne contient désormais quantité de protéines nouvelles que nous sommes incapables d’assimiler.

Mais le problème ne s’arrête pas là.

Ces protéines, qui ne sont pas transformées par notre digestion, passent telles quelles dans l’intestin, et chez certaines personnes génétiquement prédisposées, cela déclenche des inflammations équivalentes à une véritable torture. On parle alors d’intolérance au gluten (ou « maladie cœliaque »), une maladie qui ne touche « que » 1 % de la population.

C’est là que s’arrête le discours officiel, car en réalité, plusieurs études scientifiques récentes ont démontré que le gluten du blé moderne est nocif pour tous les êtres humains, y compris pour les personnes qui ne sont pas intolérantes !
Du blé nocif pour tous les êtres humains

C’est un travail qui vient d’être publié. Il est le fruit d’une collaboration entre des chercheurs de l’hôpital général du Massachusetts, de l’université John Hopkins et de l’université médicale du Maryland (Etats-Unis).

Les chercheurs ont testé l’effet de la consommation de gluten sur 3 groupes de personnes : un groupe de malades cœliaques, un groupe de malades hypersensibles et un groupe en pleine santé. Résultat : dans tous les cas la consommation de blé augmente fortement la perméabilité intestinale en perturbant une hormone intestinale appelée « zonuline ». Et les conséquences de cette perturbation sont terribles.

Non seulement notre intestin souffre et peine à assimiler les nutriments, mais il peut laisser passer dans le flux sanguin certaines protéines qui vont agir dans notre organisme à la façon d’authentiques petits terroristes, déclenchant des maladies auto-immunes et augmentant le risque de cancer.

Parmi ces protéines, les plus connues sont les prolamines et les gluténines. Elles forment une bande organisée terrorisant les populations. Elles sont devenues célèbres dans le grand public sous le nom de « gluten ».

Le gluten est en effet un mélange de prolamines et de gluténines. Ce n’est pas une matière en soi.

Longtemps minimisés par les autorités sanitaires, les dangers du gluten sont aujourd’hui de plus en plus reconnus.

Car nous sommes beaucoup plus nombreux à souffrir d’une hypersensibilité au gluten, qui se manifeste par des symptômes diffus allant de la diarrhée aux ballonnements, à la dépression et aux douleurs articulaires, jusqu’à toutes les formes de maladies
D’où les effets étonnants d’un régime sans gluten, qui peut non seulement résoudre les problèmes de digestion, mais aussi donner meilleur moral, plus d’énergie, moins de sensibilité aux infections.
Quels sont les effets positifs d’une alimentation sans gluten ?

Si vous n’êtes touché par aucun des symptômes ci-dessus, gardez en tête qu’une alimentation sans gluten est un moyen simple et efficace de conserver un intestin en meilleure santé et de limiter l’apparition de maladies chroniques incurables comme les maladies auto-immunes.

Une étude qui a suivi des adultes en bonne santé pendant un mois a aussi montré une importante diminution de la production de cytokines pro-inflammatoires grâce à un régime sans gluten.

Or, l’inflammation est un facteur majeur de maladies cardiaques, de cancers, de dépression, et de bien d’autres maladies.

Il se pourrait donc bien que l’alimentation sans gluten, ou limitée en gluten, ait également de gros effets positifs sur notre santé. Pourquoi ne pas essayer ?

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

05/11/2018

The keto diet and intermittent fasting are two of the hottest current health trends. This article defines intermittent fasting and the keto diet and explains whether combining them is a good idea.

13/03/2018

Votre alimentation est (vraiment) votre principal facteur de santé !

Sur-inflammation chronique : une mauvaise alimentation vous suivra toute votre vie.

Vous est-il déjà arrivé(e) dans la vie de traverser une mauvaise passe sur le plan alimentaire ?

De succomber aux régimes les plus néfastes parce que vous en ressentiez le besoin à ce moment-là ?

Parce que vous étiez ignorant(e) ou insouciant(e) ?

Si c’est le cas, il faut espérer que cette période ait été la plus courte possible : une équipe de chercheurs vient de démontrer qu’un régime alimentaire « à l’occidentale », c’est-à-dire excessif en gras saturés, en sel, en sucres et en protéines animales, reprogrammait notre organisme et le rendait plus sensible aux facteurs pro-inflammatoires.

C’est une avancée considérable car, aujourd’hui, ce ne sont pas les infections microbiennes qui tuent le plus mais les maladies inflammatoires, comme le diabète de type II, l’obésité et les troubles cardiovasculaires. Ce sont des maladies sournoises dont les mécanismes restent encore largement inconnus, et qui ont un lien certain avec notre alimentation et notre système immunitaire.

Que se passe-t-il quand on se met à manger n’importe quoi ?

Lorsqu’on consomme en abondance des plats préparés, des produits ultra-transformés ou des aliments très gras et très sucrés, le système immunitaire réagit de la même façon que s’il était attaqué par des bactéries. Le nombre de certaines cellules immunitaires augmente drastiquement dans le sang (notamment les granulocytes et les monocytes) et l’organisme déclenche une réaction inflammatoire. Comment expliquer cette réaction immunitaire qui semble très exagérée ?

Pour résister aux attaques des différents pathogènes, nous avons deux grandes techniques. La première est assez primaire mais elle a le mérite d’être exceptionnellement rapide. Certaines de nos cellules ou de nos protéines sont capables de reconnaître des formes ou des motifs qui sont naturellement considérés comme « pathogènes » par notre organisme. Généralement, ce sont des motifs qui sont communs à plusieurs types d’agresseurs et que l’évolution a pris soin d’archiver dans une sorte d’encyclopédie. Ainsi, le récepteur TLR4 situé sur les membranes plasmiques de certaines cellules immunitaires se lie à une molécule de surface présente chez de nombreuses bactéries pathogènes, le lipopolysaccharide. Lorsque le motif suspect a été détecté, l’alerte est donnée. Elle déclenche immédiatement le recrutement massif de cellules chargées d’éliminer grossièrement les intrus, par phagocytose ou par pulvérisation chimique.

Mais cette technique a ses limites : elle s’appuie sur des mécanismes basiques et répétitifs qui ne s’adaptent jamais à l’agresseur. Parfois, la quantité de soldats importe peu tant qu’on ne dispose pas de l’arme adéquate pour tuer l'ennemi. C’est tout l’intérêt de la deuxième technique, l’immunité adaptative, beaucoup plus précise mais plus lente à mettre en place. Des cellules immunitaires particulières, les lymphocytes, sont capables de se lier à des motifs uniques et spécifiques d’un pathogène donné, puis d’enclencher la production d’armes sur-mesure : les anticorps et les lymphocytes T cytotoxiques. Ce sont des armes conçues spécialement pour combattre un pathogène donné, reproductibles à l’infini et dont on garde un exemplaire en réserve, au cas où le même pathogène aurait le culot de revenir tenter une offensive à l’avenir.

Dans le cas d’une alimentation néfaste, c’est la première technique, plus rudimentaire, qui bat de l’aile. Les chercheurs ont montré que l’un des mécanismes visant à reconnaître les motifs pathogènes s’activait de façon anormale, comme si le système immunitaire interprétait le régime alimentaire comme une menace pour l’organisme. Cette « mauvaise interprétation » provoque la formation d’un complexe protéique appelé « inflammasome » qui va activer toute une cascade de réactions inflammatoires, et notamment la production de cytokines pro-inflammatoires (notamment IL-1β et IL-18).

Cet état inflammatoire persiste tant que le régime alimentaire reste le même, et il peut donc devenir chronique avec le temps. En revanche, si la personne change son régime alimentaire en misant sur des aliments bruts et nutritionnellement sains, l’inflammation s’arrête et tout semble redevenir normal.

Mais en réalité, l’histoire ne s’arrête pas là. Le mauvais régime alimentaire a laissé des traces. Des traces qui pourraient bien marquer l’organisme pour le restant de ses jours…

Comment le mauvais régime alimentaire transforme insidieusement l’organisme ?

En interprétant le mauvais régime alimentaire comme un agresseur, le système immunitaire ne fait pas que provoquer une réaction inflammatoire. Il modifie en profondeur les réactions immunitaires à venir ! Et ça, c’est une véritable découverte.

En fait, il s’avère que l’inflammasome va activer et modifier un certain nombre de gènes qui, jusque-là, n’étaient pas utilisés par l’organisme. Des gènes qui agissent sur la prolifération et la maturation des cellules de l’immunité innée. Comment s’y prend-t-il ? Il est probable que certains des messagers chimiques induits par l’inflammasome (notamment les niveaux d’IL-1 β) changent la façon dont les informations génétiques sont conservées, les rendant plus lisibles, plus accessibles à la traduction. Un peu comme si des pièces cachées de l’ADN se révélaient tout à coup au grand jour et ne pouvaient plus être ignorées. C’est un flagrant délit de changement épigénétique : l’environnement peut agir sur l’expression des gènes. Mais quelles sont les conséquences à long terme de ces changements ?

D’abord, contrairement à l’inflammation, ces gènes qui ont été activés durant la période « fast-food » semblent rester actifs pour longtemps, même si vous changez radicalement d’hygiène de vie. Ensuite, il semble assez clair que ces gènes induisent une plus forte sensibilité aux déclencheurs de l’inflammation. En quelque sorte, ils préparent l’organisme à fournir une réponse immunitaire plus puissante, par une augmentation de la production des cellules de l’immunité innée et par la maintenance d’un état hyper-réactif.

Lorsque les déclencheurs de l’immunité innée sont véritablement nocifs, cette hypervigilance n’est pas forcément malvenue mais elle peut conduire à la catastrophe si l’organisme devient trop sensible aux déclencheurs qui ne sont pas réellement dangereux. Car c’est cette même sensibilité exacerbée qui jouerait un rôle dans le développement de maladies auto-immunes. C’est l’accumulation des cellules immunitaires innées (macrophages en tête) associées à des lipides sanguins qui sont vraisemblablement la cause des dépôts de plaques ayant cours dans l’athérosclérose. Ce sont les états d’inflammation chronique qui sont suspectés de jouer un rôle dans l’évolution de toutes les maladies inflammatoires.

En d’autres termes, l’alimentation d’aujourd’hui incite l’organisme à recruter une armée plus puissante et surtout plus sensible. Mais cette suractivation ne lui profite pas ! Au contraire, elle favorise l’installation d’une inflammation chronique et pernicieuse, si caractéristique de notre époque. Avec la réduction constante du niveau d’activité physique, c’est certainement le facteur qui explique, à l’heure où nos connaissances scientifiques n’ont jamais été aussi pointues, une des aberrations de notre époque : les individus nés aujourd’hui vivront peut-être moins vieux que leurs parents.

Il y a plus de 120 ans, Thomas Edison prédisait que « le médecin du futur ne traiterait pas le corps humain avec des médicaments, mais soignerait et préviendrait la maladie avec la nutrition. » Les fruits de la recherche lui donnent chaque jour raison, mais il semble que nous soyons encore loin de ce futur-là.

Nutranews.org

06/03/2018

On parle beaucoup des super-aliments souvent rares et exotiques. Il en existe pourtant un que l'on peut consommer en toute saison, tous les jours, à tous les repas et de surcroit très bon marché ...

Les oignons & la santé de vos intestins, votre longévité, le cancer, et plus encore

L'oignon oublié et très critiqué, existe depuis les temps anciens et très probablement un aliment de base de nos ancêtres préhistoriques. Il est souvent évité en raison de son goût et son odeur piquante, mais également pour son effet sur la "mauvaise haleine". La forte odeur et le goût proviennent des composés contenant du soufre, aussi responsables des fantastiques avantages des oignons pour la santé.

Les oignons ne reçoivent généralement pas l'honneur d'être un "superaliment" glamour et tendance, mais de façon assez surprenante, le simple oignon est très certainement un superaliment dans sa propre catégorie. Vous connaissez le dicton, "Une pomme par jour...", et bien ce devrait plutôt être, "Un oignon par jour éloigne votre médecin !".

Les oignons sont de la même famille que les légumes racines comme l'ail (une superstar connue), les échalotes, les poireaux et les oignons verts. Ils sont une excellente source de vitamines B, en particulier B6, B1, folate, et la biotine. Ils contiennent également de grandes quantités de vitamine C, du manganèse, du cuivre, du phosphore, du potassium et une quantité massive de phytonutriments et polyphénols antioxydants. Certains des phytonutriments avancés comprennent de la quercétine, et de l'allyle bisulfure. Les oignons contiennent des polyphénols encore plus puissants que leurs cousins, l'ail et les poireaux, ainsi que les tomates, les carottes et les poivrons rouges.

Ces antioxydants font des oignons un anti-histamine naturel (semblable à la médecine pour les rhumes et les allergies), un anti-inflammatoire et un antioxydant. Les polyphénols puissants dans les oignons profitent à l'ensemble du corps, et les rendent extrêmement efficaces dans la prévention ou la lutte contre le diabète, le cancer, les maladies cardiovasculaires et les maladies neuro-musculaires.

L'un des principaux antioxydants polyphénoliques dans les oignons est la quercétine. La quercétine est un ingrédient anti-inflammatoire qui protège non seulement contre les maladies cardiaques, les caillots sanguins, l'hypertension, les maladies urinaires, la prostatite et le cancer, mais il est aussi l'un des anti-histaminiques les plus puissants et naturels, contribuant ainsi à prévenir ou à atténuer les réactions allergiques et asthmatiques.

Selon The World's Healthiest Foods, les oignons sont l'un des dix meilleurs aliments pour la teneur en quercétine, bien qu'elle varie en fonction du type d'oignon, et des conditions de croissance. Selon les ilnformations du Dr Mercola de Wageningen Agricultural Universtity aux Pays-Bas, le corps absorbe deux fois plus la quercétine de l'oignon que d'autres aliments comme le thé vert et les pommes.

Médecine anti-cancer

La National Onion Association considère que l'oignon est un aliment majeur anti-cancer. L'oignon, comme l'ail et d'autres légumes allium sont des combattants de nombreux types de cancers, y compris : le cancer du sein, de l'ovaire, de l'utérus, du larynx, de l'œsophage, de l'estomac, du côlon, du rein et de la prostate. Cela est dû en partie à la quercétine, ainsi qu'aux composés soufrés tels que : le disulfure de diallyle (DDS), la S-allylcystéine (SAC), et la S-méthylcystéine (SMC). Bien que la physiologie exacte ne soit pas connue, on pense que ces composés inhibent la croissance des tumeurs et des mutations génétiques, tout en luttant contre les radicaux libres.

Alors qu'une consommation "modérée" (1-2 fois par semaine) d'oignons aide à lutter contre ces cancers, la meilleure pratique est d'environ 80 gr d'oignon par jour. Ce n'est pas vraiment difficile d'ajouter des oignons verts (échalotes) dans vos oeufs le matin, un peu d'oignon rouge coupé en tranches dans votre salade à midi et de prendre une salade de légumes fraîche (avec des oignons) à l'heure du dîner. La cuisson ne supprime pas la puissance des éléments nutritifs de l'oignon, de sorte que des oignons frémissants dans votre soupe et plats cuisinés vous donne encore beaucoup d'avantages pour la santé.

L'oignon, comme l'ail, aide à prévenir des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des caillots de sang. Les composés de soufre dans les oignons sont très efficaces dans la prévention de l'agglutination des plaquettes sanguines, qui donnent lieu à la formation de caillots, ce qui signifie qu'ils sont très efficaces dans la prévention de maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les caillots de sang dans d'autres parties du corps (maladie vasculaire périphérique). L'allium et l'allyle bisulfure aident également à créer des vaisseaux sanguins plus souples qui font diminuer la pression artérielle. Les oignons ont également été montré pour aider à réduire les triglycérides et le cholestérol LDL, en particulier lorsqu'ils sont consommés dans le cadre d'un régime alimentaire riche en fruits et légumes.

Effets anti-inflammatoires

La quercétine maintient un statut de haut niveau anti-inflammatoire, ainsi que des propriétés anti-histaminiques. Cela signifie qu'elle contribue à la plupart des états inflammatoires, y compris l'asthme, les allergies, l'arthrite, les maladies cardiaques, la maladie d'Alzheimer, le cancer, et plus encore. L'onionin A, l'un des composés soufrés, inhibe la formation de macrophages qui déclenchent des réactions immunitaires et des réponses inflammatoires, aidant ainsi ceux qui ont des conditions auto-immunes.

Os, tissu conjonctif, santé des instestins, et avantages pour le diabète

Plusieurs études sur l'homme ont montré qu'une consommation d'oignon fréquente (quotidienne) peut réellement aider à augmenter la densité osseuse chez les femmes post-ménopausées, et aider à prévenir les fractures liées à l'ostéoporose. De plus, la forte teneur en soufre des oignons contribue à renforcer et à soutenir un fort tissu conjonctif dans le corps, y compris les tendons, les ligaments, le cartilage, le collagène et même les cheveux.

Les oignons fournissent des propriétés antibactériennes saines, en aidant à prévenir des caries, des maladies des gencives, des ulcères de h. pylori et des maladies d'origine alimentaire. Des études ont montré que les oignons peuvent être efficaces contre les souches de streptocoques et de porphyromonas gingivalis entre autres bactéries, en particulier avec des oignons crus frais. Donc, le fait d'ajouter des oignons frais à vos salades, salsas, et pique-nique vous assure de ne pas tomber malade !

Les oignons contiennent une fibre prébiotique, l'inuline, qui aide à nourrir et encourager la croissance des bactéries saines de l'intestin créant ainsi un système immunitaire plus fort, il aide également l'absorption, l'assimilation des aliments sains, et réellement votre humeur et votre fonction cérébrale. L'inuline aide aussi à prévenir l'obésité et réduire votre risque de diabète.

Chez les personnes atteintes de diabète de type 2, l'inuline contribue à améliorer les réactions de la glycémie et le maintien d'un niveau de glucose plus stable. Un autre composé dans l'oignon, l'allium cepa, a été montré pour avoir un effet significatif sur l'abaissement de la glycémie dans une autre étude sur des rats, bien que plus de recherches doivent être nécessaires.

Le sommeil et l'humeur

Les oignons ont un effet positif sur le sommeil et l'humeur, en raison de leur teneur en folate. En fait, on pense que les oignons peuvent aider à la dépression, en diminuant la quantité d'homocystéine, un agent inflammatoire dans le corps. En plus d'être dangereux pour le coeur et les vaisseaux sanguins, l'excès d'homocystéine peut également interférer avec les hormones du cerveau comme la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline, qui sont toutes des hormones du "bien-être. Ces hormones ont aussi un effet énorme sur le sommeil et l'appétit.

Rhume et grippe

Les américains ont reconnu le pouvoir des oignons pour traiter le rhume et la grippe et l'ont utilisé pendant des années et des années. Même l'Organisation Mondiale de la Santé reconnaît le pouvoir des oignons pour la toux, la congestion, la bronchite et les infections respiratoires. Les oignons ont également été utilisés pendant des centaines d'années comme remède pour les coliques et les vomissements.

Comment choisir un oignon

Différentes variétés d'oignons contiennent différents niveaux de nutriments et de teneur en polyphénols. Les échalotes ont le plus haut niveau de polyphénols, alors que les oignons jaunes ont la teneur en flavonoïdes la plus haute. En règle générale, comme la plupart des légumes, une coloration plus brillante et plus profonde sont le signe de plus de nutriments dans l'ensemble, la consommation d'oignons rouges vous donnera donc le plus de nutriments pour investissement !

Assurez-vous de choisir des oignons bio si vous pouvez, comme les oignons cultivés conventionnellement sont souvent irradiés pour les empêcher de germer, cela tue aussi quelques-uns des éléments nutritifs bénéfiques. Et en parlant de nutriments, saviez-vous que la plupart de ces puissants antioxydants sont plus concentrés dans les couches externes ? Alors, quand vous épluchez des oignons, décollez seulement la couche la plus à l'extérieur pour éviter de jeter les meilleures parties de l'oignon. En fait, je coupe et j'utilise même la peau si je fais de la soupe.

Vivre centenaire avec des oignons ?

Une autre chose à propos des oignons... J'ai lu récemment une étude sur la longévité qui a interrogé un grand nombre de centenaires, et l'un des traits communs qu'ils ont trouvé dans l'enquête était que les centenaires semblaient manger beaucoup d'oignons ! Juste une preuve supplémentaire que les oignons sont un superaliment puissant digne de vos repas quotidiens... Je tiens toujours à en ajouter dans mes œufs brouillés, en dés avec du saumon ou dans ma salade de thon, puis sautés avec des légumes mélangés au dîner !

Mike Geary

Adresse

Verneuil-sur-Avre
27130

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