La déclaration de politique de François Bayrou ressemble au chant du cygne du pôle central. Le Premier ministre n’a pas grand-chose à proposer aux Français sinon le prolongement d’un « en même temps » vidé de tout contenu (si jamais il en a eu un), d’un non-choix présenté comme une politique d’équilibre.
Le dossier des retraites est emblématique : prétendre que ses annonces (mission flash de la Cour des comptes et concertation des partenaires sociaux pendant trois mois) est d’une grande habileté est une vision politicienne. Pendant ce temps-là, les Français attendent…
Jean-Thomas Lesueur, directeur général de l’Institut Thomas More, sur BFM Business.
Institut Thomas More BFM Business
Découvrez les livres de nos chercheurs parus en 2024 :
"Géopolitique de la Chine. Une nouvelle thalassocratie" d’Hugues Eudeline, aux Puf
"Géopolitique de la Russie" de Jean-Sylvestre Mongrenier et Françoise Thom, 4e édition revue et mise à jour, aux éditions Que sais-je ?
"Le souci de l’homme et du monde. Autour de l’œuvre de Chantal Delsol", livre collectif dirigé par Jean-Thomas Lesueur, aux Éditions du Cerf
En 2024, l’Institut Thomas More a publié 14 notes et rapports :
- La stratégie énergétique européenne aura-t-elle raison de l’écosystème numérique européen ?
- L’Occident : une civilisation et une réalité géopolitique à l’épreuve
- Israël-Palestine : l’impossible solution à deux États
- La Pologne, pilier oriental de la défense de l’Europe : continuités et opportunités
- Face à la menace terroriste : la protection des élèves et l’autodéfense des enseignants
- L’hypothèque Trump : analyse historique de l’improbable isolationnisme américain
- Face à l’hyperviolence des jeunes, comment restaurer l’autorité ?
- L’audiovisuel public français est-il pluraliste ?
- La France en quête d’une grande politique : souveraineté, solidarités occidentales et patriotisme de civilisation
- Trump 2024, la revanche d’une Amérique en colère
- Écouter ne suffit pas : le harcèlement scolaire et la sanction éducative
- La grande parade continue : socialisme mental et extension sans fin du domaine de l’État
- La Roumanie, un acteur ascendant au carrefour de l’Europe orientale et du bassin pontique
- La chute du régime de Damas et la Russie · Un tournant historique ?
Merci à tous nos chercheurs : Tristan Audras, Selmin Seda Coskun, Cyrille Dalmont, Enguerrand Delannoy, Hugues Eudeline, Flavigny Christian, Alexandre Hogu, Martin Laï, Aymeric de Lamotte, Jean-Thomas Lesueur, Jean-Sylvestre Mongrenier, Lyvann Vaté - et à tous les autres contributeurs.
Retrouvez toutes nos études sur notre site.
Les auditeurs de l'École Thomas More ont eu le plaisir de recevoir Aymeric de Lamotte, directeur général adjoint de l'Institut Thomas More, qui leur a présenté le collectif Justitia :
👉 "Le pouvoir judiciaire n’a jamais été aussi puissant, à cause de la judiciarisation de la société. Il empiète de plus en plus sur les deux autres pouvoirs, le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif. Mais il est possible d’obtenir de véritables résultats politiques par le biais des juges."
#politique #droit #justice #juridique #pouvoir #biencommun #formation #engagement
Pour découvrir l'École 👉 https://ecole.institut-thomas-more.org
Pour découvrir l'Institut 👉 https://institut-thomas-more.org
Pour nous soutenir 👉 https://www.helloasso.com/.../institut.../formulaires/1
Sur l’Ukraine comme sur le Moyen-Orient, l’administration Biden travaille déjà avec la future administration Trump (briefings, partage d’informations, etc.). Et Trump ne fera pas n’importe quoi : il veut aller vite mais il veut des succès pour l’Amérique. C’est une erreur de penser qu’il lâchera l’Ukraine à n’importe quel prix.
Gilles Delafon, chercheur associé à l'Institut Thomas More, sur LCI.
Les auditeurs de l'École Thomas More ont eu le plaisir de recevoir Aziliz Le Corre, journaliste, rédactrice en chef Opinions & Controverses du "Journal du Dimanche", pour parler des :
👉 « Les nouveaux médias d’opinion jouent un double rôle aujourd’hui : un rôle cathartique pour beaucoup de citoyens, que sentaient leurs opinions peu ou mal représentées dans les médias traditionnels ; et un rôle dans le combat culturel, en permettant à certains sujets, qui étaient mis sous le tapis ou dont on ne traitait pas dans la plupart des médias, d’exister et d’émerger ».
#politique #media #medias #opinion #culture #formation #engagement
Institut Thomas More Aziliz Le Corre JDD
Pour découvrir l'École 👉 https://ecole.institut-thomas-more.org
Pour découvrir l'Institut 👉 https://institut-thomas-more.org
Pour nous soutenir 👉 https://www.helloasso.com/associations/institut-thomas-more-asbl/formulaires/1
Charles Millon , ancien ministre, administrateur de l’Institut Thomas More et fondateur de l’École Thomas More, était sur le plateau de CNEWS dimanche soir pour parler de la nécessité de s’engager et des raisons de la création de l’École.
Elle s’adresse à tous ceux qui désirent s’engager au service du bien commun et de la France, qu’il s’agisse d’un engagement politique, civique ou associatif. Elle propose des formations fondées sur trois piliers : pourquoi s’engage-t-on (valeurs fondamentales) ? Comment s’engage-t-on (les techniques d’engagement) ? Au service de quoi s’engage-t-on (témoignages d’acteurs) ?
Parce qu’à l’École Thomas More, nous croyons au témoignage, à l’action et à l’amitié politique.
Pour découvrir l'École 👉 https://ecole.institut-thomas-more.org
Pour découvrir l'Institut 👉 https://institut-thomas-more.org
Pour nous soutenir 👉 https://www.helloasso.com/associations/institut-thomas-more-asbl/formulaires/1
Aux élections présidentielles, les Américains répondent toujours à la même question, celle de Ronald Reagan en 1980 : "Vivez-vous mieux aujourd’hui qu’il y a quatre ans ?" Les électeurs américains d'aujourd'hui répondent non. Les sondages sont extrêmement serrés et bien malin qui peut anticiper le résultat mais c'est un petit indice.
Gilles Delafon, chercheur à l'Institut Thomas More, sur LCI.
Visite d’État d'Emmanuel Macron à Rabat : le hub intelligent au nord du continent africain, c’est le Maroc. C’est un pays qui possède de nombreuses entreprises et qui connaît bien les marchés africains.
Gilles Delafon, chercheur associé à l'Institut Thomas More, ce matin sur LCI.
#maroc #Afrique
Les auditeurs de l'École Thomas More ont eu le plaisir de recevoir Adrian Pabst, politologue, directeur adjoint du National Institute of Economic and Social Research (NIESR), professeur à l’Université du Kent et membre du conseil d’orientation de l’Institut Thomas More, pour parler du post-libéralisme, mouvement intellectuel anglo-saxon en pleine expansion :
👉 “Le post-libéralisme est un projet à la fois intellectuel et politique qui vise à nous sortir de l’impasse dans laquelle se trouve la politique française et toute la politique occidentale, impasse entre une technostructure ultralibérale, d’une part, et un populisme anti-libéral, d’autre part. Le post-libéralisme s'appuie de la doctrine sociale de l'Eglise et d'autres courants intellectuels pour construire une politique fondée sur deux principes : la dignité de la personne et la poursuite du Bien commun. C'est un projet de renouveau politique.”
#politique #liberalism #postliberalism #democratie #social #dignité #BienCommun #formation #engagement
Institut Thomas More NIESR
Pour découvrir l'École 👉 https://ecole.institut-thomas-more.org
Pour découvrir l'Institut 👉 https://institut-thomas-more.org
Pour nous soutenir 👉 https://www.helloasso.com/associations/institut-thomas-more-asbl/formulaires/1
L’envoi de 12 000 soldats nord-coréens sur le front ukrainien ne va peut-être pas change la donne mais elle s’ajoute à la mobilisation russe massive, à la livraison de missiles iraniens, à la livraison de missiles nord-coréens, au soutien multiforme de la Chine. Tout cela pris ensemble vient bien déterminer la corrélation des forces sur le théâtre ukrainien. Un nouveau seuil est franchi.
De plus, la Corée du Nord a encore beaucoup de réserves. 12 000 hommes, c’est peu pour son armée. Peut-être n’est-ce qu’une avant-garde.
En tout cas, cela permet à la Russie de respirer un peu et de ne pas avoir à ordonner de nouvelle mobilisation, qui pourrait être impopulaire dans sa population.
Enfin, cela offre à la Corée du Nord le moyen d’acquérir l’expérience du combat dans un conflit moderne. Mais, surtout, elle obtient une coopération militaro-industrielle poussée, avec des transferts de technologies possible dans les domaines balistique, spatial et même des sous-marins nucléaires. Cela lui offre l’occasion de renforcer sa position propre.
Jean-Sylvestre Mongrenier, directeur de recherche à l’Institut Thomas More, répond aux questions du Nouvel Obs.
@InstitutThomasMore @NouvelObs
#ukraine #ukrainewar #russie #russia #russiaukrainewarnews #coréedunord #northkorea
