Table de concertation sur la faim Montréal Métropolitain

Table de concertation sur la faim Montréal Métropolitain La T.C.F.D.S.M.M a pour mission de soutenir ses membres pour favoriser le développement de pratiques Membres de la Table 2013
1.

La Table de concertation sur la faim et le développement social du Montréal métropolitain a reçu de ses organismes membres la mission de les soutenir, afin de favoriser et de promouvoir le développement de pratiques solidaires visant la reprise de contrôle des citoyens à revenu précaire sur leur alimentation et sur leur vie et le recouvrement de leur pleine citoyenneté. Objectifs et activités prin

cipales
Regroupant près de 50 organismes et coalitions oeuvrant en sécurité et solidarité alimentaire et couvrant la quasi-totalité des quartiers de Montréal et plusieurs régions environnantes, la Table, par ses assemblées mensuelles et annuelles, ses comités de travail, ses colloques thématiques, son bulletin “À table”, ses “Cahiers de la Table”, ses sessions et ses outils de formation et d'animation, répond aux besoins exprimés par les organismes du milieu communautaire de se doter d'un lieu qui leur soit propre pour s'informer, réfléchir ensemble, échanger, se concerter et se former sur leurs pratiques d'intervention visant la lutte à la pauvreté et la
faim dans une perspective de développement social pour la grande région de Montréal. Soutien aux interventions émancipatrices
Dans cette optique, la Table a été amenée, depuis sa création en 1986, à soutenir et à promouvoir très largement différentes pratiques innovatrices et émancipatrices qui ont marqué par la suite le développement du mouvement communautaire en sécurité alimentaire, comme les Cuisines collectives en 1989, les Mesures
alimentaires en milieu scolaire en 1991, les Magasins Partage en 1993, les Groupes d’achats en 1998, les achats collectifs auprès des agriculteurs en 1999 et l’apprentissage culinaire en milieu scolaire en 2000-2001. Aliments d’ici (région de Montréal)
2. Atelier 5 épices (région de Montréal)
3. Aux sources du Bassin de Chambly
4.Bouffe-Action de Rosemont
5.Carrefour d'entraide Lachine
6.Carrefour populaire Saint-Michel
7.Corporation de développement communautaire de la pointe Comité
SA
8.Centre Bon Courage de Place Benoit (St-Laurent)
9.Centre communautaire bénévole Matawinie (Lanaudière)
10.Centre communautaire La Patience (St-Michel)
11.Centre d'action bénévole de Montréal (région de Montréal)
12.Centre de bénévolat de Laval
13.Centre de référence du Grand Montréal (région de Montréal)
14.Centre des femmes de Montréal (région de Montréal)
15.Club populaire des consommateurs (Pointe Saint-Charles)
16.Conseil central Société Saint-Vincent-de-Paul (région de Montréal)
17.Croisée de Longueuil
18.Cuisines et vie collectives St-Roch
19.Dépôt alimentaire Notre-Dame-de-Grâce
20.Équiterre (région de Montréal)
21.Entraide chez nous
22.Fédération CJA (région de Montréal)
23.Fonds dépannage Ouest de l'île
24.Garde Manger pour tous (Petite Bourgogne)
25.Grenier aux trouvailles (Partage sans faim)
26.Groupe Entraide Mercier Ouest
27.Groupe de travail en sécurité alimentaire de Lachine
28.Groupe populaire entrelacs (Lanaudière)
29.Groupe Ressource Plateau Mont-Royal
30.L'Itinéraire (région de Montréal)
31.Maison d’entraide St-Paul-Émard
32.Maison de quartier Villeray
33.Maisonnette des parents (Petite Patrie)
34.Mission Bon Accueil (Centre-Ville))
35.Moisson Montréal (région de Montréal)
36.Mouvement Action-Chômage Longueuil
37.Mouvement Fraternité Multi-ethnique (Saint-Léonard)
38.Multicaf (Côte-des-Neiges)
39.Option consommateurs (région de Montréal)
40.PROMIS (Côte-des-Neiges)
41.Regroupement des organismes et des citoyens et citoyennes
humanitaire d’Anjou
42.Relais communautaire Laval
43.Relais Laurentien (Saint-Laurent)
44.Rencontre Châteaugoise (Châteauguay)
45.Réseau d’entraide de Verdun
46.Ressources Jeunesse St-Laurent
47.Regroupement des organismes en sécurité alimentaire de
Matawinie (Lanaudière)
48.Service De Nutrition et d'Action Com. (Ahuntsic))
49.Service d’éducation et sécurité Alimentaire Mercier-Est (SÉSAME)
50.Solidarité Ahuntsic
51.Sourire sans faim (Rive-Sud))
52.Table alimentation Villeray
53.Table ronde de Saint-Léonard
54.Table Sécurité alimentaire Notre-dame-de-Grâce

11/29/2024

Chantal Rouleau, députée de Pointe-aux-Trembles à l'Assemblée nationale utilise les demandeurs d’asile comme bouc émissaire à la crise alimentaire (😳) alors que le véritable problème est le sous-financement chronique de la mission des organismes communautaires.

L'ARTICLE ⤵

Insécurité alimentaire à Montréal: «Il y a des mères qui mettent des cadenas sur les réfrigérateurs»

La situation est critique dans les banques alimentaires de Montréal où on estime avoir besoin de près du double des ressources accordées par Québec pour répondre à la demande des familles dans le besoin.

Ces organismes, qui ont fait part de leurs préoccupations dans un point de presse tenu jeudi matin, reçoivent actuellement 190 millions de dollars par année. Or, selon eux, il faudrait 162 millions de dollars supplémentaires pour faire face à l’insécurité alimentaire croissante dans la métropole.

Environ 15% de la population montréalaise vit une situation d’insécurité alimentaire, selon des données rapportées par le Regroupement intersectoriel des organismes communautaires de Montréal. Au Québec, cette proportion s’établit à 11%.

Marie-Andrée Painchaud-Mathieu, porte-parole du Regroupement, soutient que des parents prennent des mesures désespérées afin d’être en mesure de nourrir leur famille.

«Il y a des mères qui mettent des cadenas sur les réfrigérateurs pour se rendre jusqu’à la fin de la semaine. On veut éviter que les ados aillent fouiller dans le frigidaire quand ils ont faim. Donc, tout est calculé. Chaque aliment est calculé pour l’ensemble de la semaine», illustre-t-elle.

«Pendant la pandémie, on a un premier ministre aussi qui a dit à la télévision que personne n’allait avoir faim, qu’on pouvait compter sur lui», ajoute-t-elle.

Hausse des demandeurs d’asile

Si le gouvernement du Québec a adopté de nombreuses mesures pour améliorer les conditions de travail des organismes communautaires, la hausse des seuils d’immigration dans les dernières années a mis une pression considérable sur le réseau, avance la ministre responsable de la Solidarité sociale et de l’Action communautaire, Chantal Rouleau.

«Ils arrivent, on veut les aider, mais la proportion est tellement importante», dit-elle, en soutenant que les demandeurs d’asile représentent environ 80 % de la clientèle desservie par certaines banques alimentaires.

«Ça met une pression énorme sur nos organismes et sur les besoins auxquels on doit répondre. Il faut voir comment on peut concilier tout ça, parce qu’il ne faut pas non plus que les Québécois qui ont besoin de notre aide ne puissent plus y accéder parce que la pression est trop forte», poursuit-elle.

[lien en commentaire]

Lionel Carmant, député de Taillon à l'Assemblée nationale

11/19/2024

📣 Lettre ouverte des organismes communautaires de Montréal qui œuvrent en sécurité alimentaire

👉🏽 Les organismes communautaires font partie de la solution pour soulager la crise alimentaire. Il est urgent de f̲i̲n̲a̲n̲c̲e̲r̲ ̲l̲e̲u̲r̲s̲ ̲m̲i̲s̲s̲i̲o̲n̲s̲.

Lionel Carmant, député de Taillon à l'Assemblée nationale
Chantal Rouleau, députée de Pointe-aux-Trembles à l'Assemblée nationale

L'ARTICLE ⤵️

MANGER TOUS LES JOURS... UN PRIVILÈGE?!

« Les organismes communautaires sont encore une fois dans l’angle mort de notre gouvernement. Ils constituent pourtant le dernier maillon de la chaîne de redistribution alimentaire qui permet d’acheminer de la nourriture aux personnes qui ont faim », écrit Marc-André Simard.

Les organismes communautaires estiment faire partie de la solution pour soulager la crise alimentaire et réclament que leurs missions soient financées de façon urgente.

Manger tous les jours est devenu un privilège. Les chiffres qui illustrent l’ampleur de cette crise persistante et insoutenable sont ahurissants et excessivement violents.

Selon la dernière étude de la Direction régionale de santé publique de Montréal, 15 % de la population montréalaise vivait dans un ménage en situation d’insécurité alimentaire, comparé à 11 % dans le reste du Québec. Ce pourcentage grimpe à 35,7 % chez les ménages québécois à faible revenu.

Les actions mises en place pour résorber la crise, ou du moins l’amoindrir, sont largement insuffisantes et trop souvent inadéquates.

En réaction, le gouvernement du Québec répond de façon sporadique en soutenant seulement une poignée d’organisations. Les organismes communautaires sont encore une fois dans l’angle mort de notre gouvernement. Ils constituent pourtant le dernier maillon de la chaîne de redistribution alimentaire qui permet d’acheminer de la nourriture aux personnes qui ont faim. Le milieu communautaire doit encore se contenter de miettes : de maigres fonds d’urgence ponctuels, de projets non récurrents et principalement de fonds destinés à l’achat de denrées.

Le travail du communautaire : invisibilisé et mal financé

Les groupes n’en peuvent plus du sous-financement à la mission et du mal financement qui arrivent au compte-goutte. Le cumul de petites sommes ponctuelles crée de l’instabilité ne leur permettant pas de couvrir leurs frais de fonctionnement de base récurrents (salaires, locaux, équipements, etc).

La pensée magique, voire charitable, selon laquelle il suffit d’augmenter la quantité de denrées à distribuer pour parvenir à nourrir convenablement tout le monde n’est plus acceptable. Les organismes doivent assurer le transport de la nourriture, parfois avec de vieux camions qu’ils n’ont pas les moyens de faire réparer.

Les employés et bénévoles, de plus en plus difficiles à recruter, passent de longues heures à trier une quantité monstre d’aliments presque périmés et à les transformer dans des cuisines souvent inadaptées ou vétustes.

Et c’est sans parler de la préparation de nombreux paniers de dépannage alimentaire. C’est dans ce climat d’impuissance et de sous-financement chronique que les organismes se démènent pour redonner de la dignité aux personnes qui les fréquentent.

« Nous avons atteint le point de rupture depuis longtemps. On n’a pas les moyens ni les infrastructures pour nourrir tout le monde, et les demandes d’aide continuent d’augmenter. Les situations sont de plus en plus dramatiques et le manque de ressources nous place devant des choix crève-cœur… », s’indigne Cécilia Lessard, directrice générale du Carrefour St-Eusèbe.

Les organismes sont oubliés alors qu’ils font un travail de proximité indispensable. Ils accueillent quotidiennement des gens au ventre vide qui vivent une multitude d’autres problématiques pour lesquelles les ressources et les services publics se font de plus en plus rares. D’ailleurs, beaucoup d’organismes ont été contraints de développer un service alimentaire par nécessité, alors que ce n’est pas leur mission principale. Pour toutes ces raisons, le milieu communautaire hausse le ton et demande, à l’aube de la mise à jour budgétaire du 21 novembre prochain, d’augmenter considérablement le financement à la mission des groupes qui œuvrent en sécurité alimentaire et, plus largement, de l’ensemble des organismes communautaires de Montréal et du Québec.

Les gens souffrent et les organismes sont maintenant impuissants. Mais il peut en être autrement. Une autre Faim est possible.

*Membres du comité organisateur de la campagne : Carrefour des femmes d'Anjou, Carrefour Saint-Eusèbe , CRAC - Petite Patrie, Cuisines et vie collectives Saint-Roch, Chic Resto Pop, Groupe de réflexion et d’action en sécurité alimentaire à Parc-Extension (GRASAPE), Le Dépôt / The Depot, Information alimentaire Centre-Sud, Table de concertation et d’intervention pour une garantie alimentaire dans le Centre-sud (CIGAL), Table de quartier Peter-McGill, Table de concertation sur la faim Montréal Métropolitain, Vision Charitable -Vicha

La campagne est une initiative des organismes communautaires de Montréal qui œuvrent en sécurité alimentaire ainsi que de concertations locale et régionale. Elle est soutenue par le RIOCM - Regroupement intersectoriel des organismes communautaires de Mtl et appuyée par près de 75 groupes.



https://riocm.org/financement-mission

12/18/2023

La Table a déposé à l'Assemblée nationale le 28 novembre dernier la pétition réclamant de la part du gouvernement des mesures concrètes pour contrer la hausse des prix des aliments, grâce au chef du Parti Québécois et député de Camille-Laurin, Paul St-Pierre Plamondon.

C'est 70 groupes de citoyens et citoyennes provenant de toutes les régions du Québec, dont près de 8 000 pétitionnaires (signatures conformes et non conformes) qui se sont mobilisés pour freiner l'inflation alimentaire. Et ce n'est pas fini! La Table, avec ses nombreux partenaires, poursuit la lutte pour le droit à la sécurité alimentaire pour tous.

Voyez PSPP, lors de la lecture de la pétition à l'Assemblée nationale.

08/24/2023

Communiqué de presse pour diffusion immédiate
Une pétition pour contrer l’inflation alimentaire
La Table de Concertation sur la faim et le développement social du Montréal Métropolitain, représentant 50 groupes communautaires qui combattent l’insécurité alimentaire, lance ce 25 août 2023 une campagne nationale contre les profits excessifs des grandes entreprises alimentaires.

L’objectif est
de sensibiliser la population au scandale de ces profits excessifs jamais vus depuis 41 ans,
de la mobiliser pour pousser le gouvernement à imposer ces surprofits pour les redistribuer à la population
de freiner ainsi l’inflation alimentaire qui ne cesse de s’amplifier

Les responsables doivent demeurer … responsables
Contrairement à l’approche gouvernementale de piger dans les revenus fiscaux gouvernementaux pour compenser l’inflation par l’envoi de chèques à la population, nous croyons que les responsables de cette situation scandaleuse doivent être ceux qui auront à payer pour compenser les victimes de ces hausses des prix alimentaires. Ce n’est pas normal que les monopoles s’en mettent plein les poches pendant que la population vide les siennes pour subvenir à ses besoins de base.

Pétition
La pétition que nous lançons sera envoyée au gouvernement sur deux supports :
sur le site officielle de l’Assemblée nationale
sur support papier pour les citoyens ne disposant pas d’Internet

Nous demandons au gouvernement une législation et un débat à l’Assemblée nationale pour mettre en lumière le scandale de la hausse des denrées alimentaires et des profits excessifs ainsi engrangés, pour imposer à hauteur de 35% les surprofits des grandes corporations alimentaires et pour les redistribuer à la population selon une échelle progressive des revenus.
-30-
Pour Information
Jean-Paul Faniel
Directeur général, Table de Concertation sur la faim et le développement social du Montréal Métropolitain Te. 514 3877997, poste 1 [email protected]

Address

3155 Rue Hochelaga
Montreal, QC
H1W1G4

Opening Hours

Monday 9am - 5pm
Tuesday 9am - 5pm
Wednesday 9am - 5pm
Thursday 9am - 5pm
Friday 9am - 5pm

Telephone

514-387-7997

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