Centre De Recherches pour les Plantes Médécinales Crpm Dari

Centre De Recherches pour les Plantes Médécinales Crpm Dari Nous sommes une association de médécine traditionnelle qui aide à la guérison de plusieurs maladies grâce aux plantes médécinales

09/02/2022

Nous vous proposons tout types de produits faits à base de plantes et d'écorces vous fournissant les meilleurs traitements de tous les maladies suivantes

NB: CHAQUE MALADIE A SES PRODUITS

1. Les Hémorroides, Fissure A***e
2. Mauvais haleine
3. Obésité
4. Diabète (Hyper glycémie)
5. Hypertension artérielle, Hypotension
6. Les ulcères (gastrique, intestinal) etc.
7. Les maux de tête chronique (céphalée, migraine).
8. Foie, constipation, hépatite A, B, C, (indigestion)
9. La fièvre typhoïde
10. Paludisme, ictère, fatigue générale
11. Les règles douloureuseMauvais haleine s, irrégulières. ménopause précoce anénorrhée
12. Infection unaire, blennorragie, syphilis, staphylocoque, chlarnydie dandida, albican
13. Fibrome, les myomes, kystes de l'ovaire, glaire, frigidité, ovulation
14. Trompe bouchée, stérilité féminine (l'infection)
15. Rhumatisme, courbature , maux articulaires
16. Goute œdèmes, l'arthrose
17. Cataracte, visibilité floue, glaucome, myopie.
18. Sinusite
19. L'asthme (la toux)
20. Drépanocytose ou hématie falciforme
21. Prostatite
22. Maux de reins, maux de hanche
23. Azoospermie, oligospermie, asténospermie, tératospermie, leucospermie
24. Perte blanche, perte jaune caillée, levures, mycose ,leucorrhée
25. Les vers
26. Aide-mémoire
27- battement de coeur, maladie cardiovasculaire
28. Nerf sciatique, paralysie, hémiplégie partielle, paraplégie
29. Maux de ventre , dysenterie
30. Insomnie
31. Epilepsie

Contactez nous et nous vous aiderons à guérir définitivement
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04/08/2021

Toutes les solutions à vos problèmes

11/03/2020

🍃💃🏽 L'EPILEPSIE 🙋🏽‍♂🍃

🍃🤔 C'est une hyperactivité électrique anormale et transitoire d'un foyer de cellules cérébrales. Ces décharges brutales touchent les cellules nerveuses du cortex cérébral. On donne encore au nom de crise comitiale pour parler d'une crise d'épilepsie.

🍃😊 La plupart des crises n'ont pas de raisons véritables. On dit qu'elles sont d'origine idiopathique.

🍃 Les autres sont dites secondaires car elles ont une cause. Celles-ci sont assez rares :*
intoxication médicamenteuse ou chimique, tumeur cérébrale à évolution lente, infection cérébrale (encéphalite) ou problème métabolique (hypoglycémie due à une affection endocrinienne).

🍃🤔 CE QU’IL FAUT FAIRE EN ATTENDANT LE MÉDECIN

🍃😊 Si vous savez que le malade est épileptique et qu'il possède des médicaments, faites les lui prendre au moment où il vous a dit qu'il sentait venir la crise.
🍃 Une fois la crise en route, on ne peut pas l'arrêter.
🍃 Surtout ne pas tenter de mettre vos doigts dans sa bouche au cours de la crise.
🍃😊 Si vous avez une grande expérience de ce genre de crise, vous pouvez mettre dans sa bouche une cuiller à soupe🥄 que vous tiendrez.
🍃⛔ À éviter absolument si vous ne l'avez jamais fait.
🍃 Laissez le malade au sol et contentez-vous d'écarter tout objet sur lequel il pourrait se blesser.
🍃 Enfin, si le malade se réveille avant l'arrivée du médecin, rassurez-le avec des paroles douces en lui disant que tout va bien et qu'il a tout simplement fait une nouvelle crise.✅

🍃🤔 LE SUIVIE

🍃 Lorsque le traitement est bien suivi, les choses se passent bien.
Si ce n'est pas le cas, les crises reviennent, avec un risque accru de faire un état de mal épileptique.
🍃🤔 Tout comme pour l'asthme, il ne faut pas croire que l'épilepsie n'entraîne que des interdits dans beaucoup de domaine.
🍃 On vit normalement lorsqu'on est épileptique. Seuls les sports à haut risques ( aériens ou plongées profondes ) sont interdits.✅

🍃🤔 LE TRAITEMENT

🍃😊 Ce sont les antiépileptiques.
🍃 Les familles sont nombreuses. Ce qui importe le plus, ce n'est pas la qualité du médicament en lui même, mais la façon dont on les prend :*

🍃😊 Le traitement doit être commencé au plus tôt. Les dosages sanguins doivent être pratiqués régulièrement pour avoir une bonne efficacité.
🍃 Il ne faut jamais arrêter le traitement par soi-même, ce qui exposé irrémédiablement à une nouvelle crise
Il ne faut pas y associer d'alcool, ni prendre n'importe quel médicament à coté.

Soyez bénis 🙏🏽🙏🏽🙏🏽

ALERTE INFOS Bonjour, je suis Laila Ahmadi de Chine, Faculté des sciences médicales, Université de Zanjan  Le virus Coro...
28/02/2020

ALERTE INFOS

Bonjour, je suis Laila Ahmadi de Chine, Faculté des sciences médicales, Université de Zanjan
Le virus Corona arrive dans n'importe quel pays, tôt ou t**d, il ne fait aucun doute que de nombreux pays ne disposent d'aucun ensemble ou équipement de diagnostic, donc
Veuillez utiliser autant que possible de vitamine C naturelle pour renforcer votre système immunitaire.
Ne vous inquiétez pas, C s'en débarrasse beaucoup, et ça va.
Assurez-vous également d'utiliser plus de bois jaune
En outre
Dites à vous-même et à vos enfants qu'ils sont tous censés être séropositifs et ne touchez personne et ne le regrettez pas .
Le virus ne contient actuellement aucun vaccin et aucun traitement spécifique
Malheureusement, en raison de la mutation génétique qui l'a rendu très dangereux
Cette maladie semble être causée par la fusion du gène dans un serpent et une chauve-souris, et elle a acquis la capacité d'infecter les mammifères, y compris les humains.
Il est important de garder le message sur votre plus grande connaissance: le professeur Chen Horin, PDG de l'hôpital militaire de Pékin, a déclaré: "Des tranches de citron dans une tasse d'eau tiède peuvent vous sauver la vie."
Même si vous travaillez, vous devriez jeter un œil à ce message et le transmettre aux autres! Le citron chaud peut tuer les cellules cancéreuses! Le citron coupé en trois parties et mis dans une tasse, puis versez de l'eau chaude et transformez-la en (eau alcaline), buvez-la tous les jours sera certainement bénéfique pour tout le monde. Les citrons chauds peuvent à nouveau libérer le médicament anticancéreux. Le jus de citron chaud est apparu sur les tumeurs cancéreuses et a guéri tous les cancers.
Le traitement avec cet extrait détruit uniquement les cellules malignes et n'affecte pas les cellules saines.
Deuxièmement: les acides et l'acide carboxylique contenus dans le jus de citron peuvent réguler l'hypertension artérielle, protéger les artères étroites, réguler la circulation sanguine et réduire la coagulation sanguine.
Après la lecture, parlez-en à quelqu'un d'autre et transférez-le à la personne que vous aimez et prenez soin de votre santé personnelle.
Conseil:
Le professeur Chen Horin note que quiconque reçoit ce message est au moins assuré de sauver la vie de quelqu'un ...
J'ai fait mon travail et j'espère que vous pourrez m'aider à le développer aussi.

Publié par CRPM

La sinusite est une inflammation de la muqueuse tapissant l’intérieur des sinus, des cavités aérées dans les os du visag...
27/02/2020

La sinusite est une inflammation de la muqueuse tapissant l’intérieur des sinus, des cavités aérées dans les os du visage. Elle est généralement causée par une atteinte virale suite à un refroidissement, et peut parfois nécessiter des antibiotiques lorsqu’elle se complique d’une surinfection bactérienne. Mais elle peut aussi avoir des causes anatomiques (déviation de la cloison nasale ou polypes), et plus rarement dentaires. Elle peut être aiguë ou chronique.

Brève description
Les sinus sont des cavités aérées dans les os du massif facial, qui communiquent avec les fosses nasales. Il existe quatre groupes de sinus. On distingue, de haut en bas et de chaque côté du visage (lire plus loin), les sinus frontaux, sphénoïdaux, ethmoïdaux et maxillaires. On parle de sinusite lorsque la muqueuse qui tapisse les sinus s’enflamme, le plus souvent suite à un rhume.

Dans 90% des cas, la sinusite aiguë est d’origine virale. Le virus se propage alors dans les sinus, avec pour conséquence une inflammation de la muqueuse qui gonfle et obstrue les voies de drainage. Les sinus ne sont alors plus suffisamment aérés et sécrètent beaucoup de mucus pour lutter contre l’infection. Lorsque le mucus n’est plus drainé normalement vers le nez, les bactéries peuvent librement proliférer. La sinusite devient alors bactérienne et peut être très douloureuse. Les germes le plus fréquemment rencontrés: Streptococcus pneumoniae et Haemophilus influenzae.

Plus rarement, la sinusite peut aussi être d’origine dentaire (bactéries ou champignons), en cas de caries ou d'abcès, lorsqu'il y a une prolifération bactérienne. Les bactéries en provenance de la bouche se propagent alors dans les sinus maxillaires, situés juste au-dessus des dents supérieures. Il se peut aussi que du matériel dentaire (plombage, implant) dont on ignore la présence migre dans le sinus maxillaire, et provoque une mycose (champignons du type Aspergillus). Seul un examen d'imagerie permettra de détecter le corps étranger. A savoir encore que, selon le mécanisme en cause, un ou plusieurs sinus peuvent être touchés par l'infection, selon les cas.

Généralement bénigne, la sinusite peut parfois se compliquer d’un abcès local ou se propager à l’œil, sous forme d’un gonflement et de la fermeture de ce dernier, ou au cerveau (abcès, méningite ou thrombose du sinus caverneux, une veine du cerveau) avec un risque qui peut être vital. Mais cela reste fort heureusement relativement rare.

La sinusite chronique

La sinusite peut également prendre une forme chronique, lorsque les signes et les symptômes durent plus de trois mois ou lorsqu’il y a plus de quatre épisodes de sinusite aiguë par année, qui durent plus de dix jours. Cela peut survenir si l'épisode aigu ne répond pas aux traitements habituels ou s'il est mal soigné, mais l'étiologie exacte de la sinusite chronique reste encore largement indéterminée. Elle est plus fréquente notamment chez les personnes allergiques qui souffrent fréquemment de rhinites, en cas de déficit immunitaire ou de polypose nasale. En cas d'épisodes à répétition, il est donc important de rechercher la cause de l'inflammation, le cas échéant en réalisant un scanner des sinus.

Symptômes
La sinusite se caractérise d'abord par une obstruction nasale et la présence de mucosités épaisses de couleur jaune-verte sous forme d'écoulement nasal.
Elle peut s’accompagner de douleurs, le plus souvent sous forme de pesanteur faciale locale ou diffuse ou de douleurs pulsatiles, pouvant parfois faire penser à des douleurs dentaires. La localisation de la douleur dépend en effet des sinus touchés par l’infection. On distingue quatre groupes de sinus (de haut en bas): frontal (sur le front au-dessus de l’œil), sphénoïdal (en arrière de l’œil), ethmoïdal (à l'angle interne de l’œil) et maxillaire (sous l’œil). Si l’infection concerne le sinus frontal, alors la douleur sera ressentie au-dessus de l’œil.
De la fièvre peut apparaître.
Une perte temporaire de l'odorat peut compléter les symptômes.
Plus rarement, la présence des mucosités peut avoir comme conséquence une mauvaise haleine provoquée par la présence de bactéries dans celles-ci.
Causes
La sinusite peut avoir différentes causes, parmi lesquelles:

Des causes anatomiques locales, comme par exemple une déviation de la cloison nasale qui rétrécit les conduits d'aération des sinus et rend le passage de l’air plus difficile. Lors d’un rhume, la muqueuse nasale gonfle, s'épaissit et bouche le nez. Si les conduits d'aération s’enflamment et se bouchent, c’est alors la sinusite. En clair, un sinus qui n'est pas suffisamment ventilé va s'enflammer, voire s'infecter. Une hypertrophie du cornet moyen (autre malformation anatomique) peut également être en cause.
La présence de polypes (excroissances inflammatoires d'origine indéterminée dues à une prolifération excessive de muqueuse) naso-sinusiens, soit au niveau du nez ou des sinus. A noter que les polypes sont plus fréquents chez les personnes asthmatiques et allergiques.
Un problème dentaire. Avec par exemple la présence d'un corps étranger (amalgame, implant) qui aurait migré dans les sinus en passant par un trou (aussi appelé une fistule), créé par l’extraction d’une dent par exemple. Une sinusite unilatérale, surtout au niveau maxillaire (au contact avec les dents) doit faire rechercher une origine dentaire. Cela d'autant plus si la sinusite persiste malgré un traitement qui semble adapté.
Une maladie systémique (sarcoïdose, lupus, maladie de Wegener), même si ceci est plus rare.
Facteurs de risque
Il existe plusieurs facteurs de risque reconnus, parmi lesquels:

Le rhume et le refroidissement.
Des facteurs anatomiques locaux (déviation de la cloison nasale, par exemple).
La présence d'allergies. Les personnes allergiques sont plus souvent touchées par un rhume à l'origine d'une congestion nasale et sinusienne.
L’asthme.
La présence de polypes (excroissances le plus souvent bénignes qui se développent sur les muqueuses naso-sinusiennes).
Le fait d'être immunodéprimé, ce qui rend plus vulnérable aux infections.
Plus rarement, la présence de maladies auto-immunes (sarcoïdose, par exemple).
Traitements
Le traitement de la sinusite aiguë est le suivant:

L'utilisation d'un décongestionnant sous forme de gouttes ou de sprays, voire de comprimés vasoconstricteurs, permet de libérer les sinus. Lorsque les sinus sont aérés, ils vont sécher et s'assainir. On peut aussi recourir à un anti-inflammatoire de type AINS (l’aspirine étant à éviter chez les personnes atteintes d'un syndrome de Widal) pour diminuer l’œdème (gonflement) de la muqueuse, provoqué par l'inflammation.
Des lavages de nez avec du sérum physiologique pour éviter une surinfection des sinus.
En complément, on peut faire des inhalations de vapeur chaude contenant des essences aromatiques ou des huiles essentielles (menthe ou eucalyptus).
En cas de maux de tête ou de fièvre, la prise d'anti-inflammatoires ou de paracétamol est conseillée.
Si les symptômes persistent au-delà de quelques jours, la prescription d’antibiotiques et de cortisone peut s'avérer nécessaire. Le médecin en jugera.
Il arrive que malgré les mesures ci-dessus, les voies de drainage par lesquelles devraient s'écouler les sécrétions mucopurulentes restent bouchées et occasionnent un abcès. Celui-ci devra alors être évacué par une ponction avant la mise en place d’un drain temporaire qui permettra d'effectuer des rinçages et qui sera retiré au bout d'une dizaine de jours.
En cas de persistance des symptômes, des examens complémentaires peuvent être nécessaires (scanner, endoscopie) pour tenter d’en déterminer la cause et pouvoir traiter efficacement la maladie.

Par exemple, si l’imagerie montre une obstruction des sinus (en raison d’une malformation, d’une cloison nasale déviée ou de polypes), le recours à la chirurgie peut s'avérer nécessaire, le but étant de libérer les sinus bouchés en agrandissant leurs voies de drainage ou en procédant à l'excision de polypes. Ce type de chirurgie n’est toutefois pas sans risque, étant donné la proximité des yeux et des méninges, et peut parfois nécessiter le recours à des systèmes de neuronavigation en 3D. La chirurgie peut aussi servir à corriger des défauts anatomiques (déviation de la cloison nasale par exemple) impliqués dans la survenue des sinusites.

Dans le cas où la sinusite est d’origine dentaire, le traitement sera le plus souvent chirurgical et nécessitera de traiter aussi bien le sinus que la dent ou un éventuel corps étranger, sources de l'infection.

Evolution et complications possibles
Dans un premier temps, il s’agit de traiter les symptômes (cf. ci-dessus) et notamment de bien se moucher. L'absence d'amélioration au bout d’une semaine environ doit conduire à consulter le médecin. De même si l’inflammation d’origine virale se complique d'une surinfection bactérienne (mouchages purulents, colorés, aggravation des douleurs, fièvre, etc.). Il est important de ne pas laisser traîner une sinusite purulente, car à la longue cela peut obstruer les voies de drainage et provoquer une sinusite chronique.

Il arrive que les symptômes persistent malgré les mesures simples (lavages, antidouleurs, décongestionnants, etc.), mais aussi avec des traitements plus ciblés. Ainsi, si la sinusite ne guérit pas (persistance des écoulements, de la douleur) malgré un traitement antibiotique adapté, on devra procéder à des examens complémentaires afin d’en trouver l’origine. Un scanner des sinus sera utile pour déterminer si des facteurs anatomiques sont en cause (cloison nasale déviée, polypes, malformation, etc.) ou pour rechercher une origine dentaire. Un prélèvement des sécrétions mucopurulentes pour analyse bactériologique ou recherche de mycose (champignon) peut également être envisagé afin d'adapter le traitement.

L'évolution de la sinusite est particulièrement insidieuse lorsqu'elle est causée par un champignon d’origine dentaire notamment. En effet, l'évolution de la maladie est lente (parfois sur plusieurs années) en présence d'un champignon dans un sinus. Dans ce cas, il peut y avoir des mauvaises odeurs (cacosmie), des mouchages purulents unilatéraux, des écoulements dans la gorge et une sensibilité locale. Il faut alors procéder à un drainage chirurgical par élargissement du conduit d'aération du sinus.

Lorsque le pus ne s'écoule plus et qu’il s’accumule dans les sinus, il y a un risque de propagation de l’infection au niveau de l’œil, du cerveau ou des méninges (abcès, méningite). Ces complications intracrâniennes comportent un risque vital et sont heureusement rares. La présence d'un abcès sinusien nécessite une intervention chirurgicale, avec la pose d’un drain intra-sinusien sortant par la narine pour effectuer des rinçages pendant une dizaine de jours.

Prévention
Prévention de la sinusite

Éviter si possible les rhumes (hygiène des mains).
En cas de rhume, il peut être utile de procéder à des lavages de nez avec du sérum physiologique ou de l'eau salée. Si le nez est très bouché, on peut y associer l'utilisation d'un décongestionnant –pendant quelques jours seulement– pour le dégager et éviter ainsi une surinfection bactérienne et le recours aux antibiotiques. Attention toutefois à limiter dans le temps (pas plus d’une semaine) le recours aux décongestionnants car un usage à moyen et long terme peut provoquer une rhinite médicamenteuse (gonflement de la muqueuse nasale en réaction à l'application chronique du décongestionnant (effet paradoxal)), qui incite les personnes à utiliser toujours plus le décongestionnant pour libérer leur nez. Le traitement consiste alors à arrêter le décongestionnant nasal.
Prévention pour éviter les récidives

La prévention des récidives consiste à traiter la cause sous-jacente des sinusites à répétition.

En cas de propension à la sinusite, traiter le rhume dès les premiers symptômes avec des rinçages de nez et un décongestionnant, mais sur une courte période.
En cas d’allergie, on peut recourir à des antiallergiques, voire envisager une désensibilisation en fonction de la fréquence des sinusites, notamment.
Recourir à la chirurgie pour redresser une cloison nasale déviée.
De même, on peut envisager de réduire le volume des polypes nasaux en utilisant de la cortisone par voie locale (spray nasal) ou générale (comprimés au début du traitement). Ces excroissances peuvent en effet gonfler, boucher les sinus et provoquer ainsi des infections. L’ablation chirurgicale des polypes peut également être proposée selon les cas.

Contactez nous et nous vous aiderons à guérir définitivement
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SI VOUS ÊTES AU-DESSUS DE 40 ANS, C'EST POUR VOUS A. Deux choses à vérifier aussi souvent que possible:(1) votre tension...
14/02/2020

SI VOUS ÊTES AU-DESSUS DE 40 ANS, C'EST POUR VOUS

A. Deux choses à vérifier aussi souvent que possible:

(1) votre tension artérielle
(2) votre glycémie.

B. Six choses à réduire au minimum sur vos aliments:

(1) sel
(2) sucre
(3) viande et aliments en conserve
(4) viande rouge particulièrement rôtie
(5) produits laitiers
(6) produits féculents

C.Quatre choses à augmenter dans vos aliments:

(1) Verts / Légumes
(2) haricots
(3) fruits
(4) noix

D. Trois choses que vous devez oublier:

(1) Votre âge
(2) votre passé
(3) vos griefs

E. Quatre choses que vous devez avoir, peu importe votre force:

(1) amis qui vous aiment vraiment
(2) famille attentionnée
(3) pensées positives
(4) une maison chaleureuse.

F.Cinq choses à faire pour rester en bonne santé:

(1) le jeûne
(2) sourire / rire
(3) trek / exercice
(4) réduire votre poids.

G.six choses que vous n'avez pas à faire:

(1) N'attendez pas d'avoir faim pour manger

(2) n'attendez pas d'avoir soif pour boire
(3) n'attendez pas que vous ayez sommeil pour dormir
(4) n'attendez pas d'être fatigué pour vous reposer
(5) n'attendez pas d'être malade pour passer des examens médicaux, sinon vous le regretterez plus t**d dans la vie
(6) n’attendez pas que vous ayez un problème avant de prier votre Dieu.

22/01/2020

L'arthrose ou ostéoarthrite, est une affection chronique qui se manifeste par des douleurs persistantes aux articulations causées par l’usure anormale du cartilage et de l’ensemble de l’articulation. Elle est la forme d’arthrite la plus fréquente. L'arthrose est la maladie articulaire la plus répandue. Elle se caractérise par une destruction du cartilage qui s’étend à toutes les structures de l'articulation, notamment à l’os et au tissu synovial.

Le cartilage tapisse les extrémités osseuses d’une articulation, leur permettant de glisser l’une sur l’autre. Dans l’arthrose, il perd en épaisseur, se fissure et finit par disparaître. Cela entraîne des douleurs et un handicap majeur avec une perte de mobilité. Actuellement, les mécanismes de cette dégradation sont mal connus et font l’objet d’une recherche active.

L’arthrose est une maladie articulaire conduisant à la destruction du cartilage. Les traitements ont longtemps été uniquement symptomatiques, mais la recherche a permis de découvrir de nouvelles cibles thérapeutiques : elles conduisent au développement de traitements ciblés visant à enrayer la progression de la maladie. Un certain nombre d’entre eux sont actuellement en cours d’évaluation.

10 millions de Français sont concernés dont 65 % des plus de 65 ans
En cause : le vieillissement, l'hérédité, des anomalies du métabolisme, certaines maladies
Vers des traitements ciblés visant à réparer ou remplacer le cartilage endommagé

Comprendre l'arthrose
L'arthrose est la maladie articulaire la plus répandue. Elle se caractérise par une destruction du cartilage qui s’étend à toutes les structures de l'articulation, notamment à l’os et au tissu synovial.

Le cartilage tapisse les extrémités osseuses d’une articulation, leur permettant de glisser l’une sur l’autre. Dans l’arthrose, il perd en épaisseur, se fissure et finit par disparaître. Cela entraîne des douleurs et un handicap majeur avec une perte de mobilité. Actuellement, les mécanismes de cette dégradation sont mal connus et font l’objet d’une recherche active.

Plusieurs facteurs de risque identifiés
La destruction du cartilage est un processus pathologique lié à :

l’âge : l’arthrose concerne 3% des moins de 45 ans, 65 % des plus de 65 ans et 80 % des plus de 80 ans
des désordres métaboliques générés par un diabète ou l’obésité
un excès de pression : une surcharge pondérale, le port fréquent de charges lourdes, une activité physique trop intense ou la pratique mal contrôlée de certains sports augmentent les contraintes mécaniques, contribuant à abîmer le cartilage
certaines maladies de l’articulation comme la chondrocalcinose (dépôts de calcium dans le cartilage), l’ostéonécrose ou la polyarthrite rhumatoïde
la fragilité naturelle du cartilage et certaines anomalies anatomiques ou séquelles de traumatisme (fracture articulaire, entorse négligée, luxation, ablation du ménisque)
l'hérédité est un facteur de risque dans certains cas, notamment pour l’arthrose des mains
La radiographie comme outil de diagnostic et de suivi
Le diagnostic de la maladie repose sur un examen clinique et des radiographies de l'articulation. Ces dernières permettent d’observer le pincement de l’interligne articulaire qui joint les os. Il est souvent utile d’en réaliser régulièrement (tous les ans ou tous les 2 ans), pour observer la sévérité mais surtout la vitesse d’évolution de la maladie et décider d’un éventuel traitement chirurgical.

Toutes les articulations peuvent être concernées
La fréquence de la maladie varie en fonction de la localisation :

l'arthrose de la colonne vertébrale est la plus fréquente dans la tranche d'âge 65-75 ans (70 à 75% des personnes) mais reste le plus souvent silencieuse.
l'arthrose des doigts est la deuxième localisation la plus fréquente (60%) et se traduit par des déformations irréversibles.
les arthroses du genou et de la hanche concernent respectivement 30% et 10% des personnes de 65 à 75 ans : elles sont plus invalidantes car touchent de grosses articulations qui portent le poids du corps
Toutes les autres articulations peuvent être concernées mais l'épaule, le coude, le poignet, la cheville sont plus rarement atteints.

Une évolution imprévisible
Dans l’arthrose, les lésions du cartilage ne régressent pas, mais leur progression n’est pas linéaire. L’évolution peut être très rapide et rendre nécessaire la pose d’une prothèse en moins de 5 ans (par exemple dans le cas de l’arthrose de la hanche). La maladie peut également évoluer lentement, sur plusieurs années, sans induire de handicap majeur.

Deux états se succèdent à un rythme imprévisible :

des phases chroniques, au cours desquelles la gêne quotidienne est variable et la douleur modérée
des crises douloureuses aiguës accompagnées d’une inflammation de l'articulation, au cours desquelles la douleur est vive, survenant dès le matin et parfois la nuit
Durant la phase chronique, il est recommandé de conserver une activité physique régulière. En revanche, il faut mettre l’articulation au repos lors des crises douloureuses. C’est en effet au cours de cette phase qu’intervient la destruction du cartilage.
Certaines mesures non médicamenteuses sont indispensables pour limiter la progression de la maladie et doivent être personnalisées en fonction des pathologies associées et de la localisation de l’arthrose. Il est recommandé de :

perdre du poids en cas d’excès
pratiquer une activité physique régulière et d’intensité modérée en dehors des poussées inflammatoires, par exemple de la marche à raison de 3 fois une heure par semaine
éviter de porter des charges lourdes
adapter son environnement à son état de santé, par exemple s’aider de rampes dans la baignoire ou mettre les ustensiles à portée de mains dans la cuisine
se munir d’une canne lors des poussées
porter des semelles orthopédiques en cas d’arthrose du genou (gonarthrose)

04/01/2020

CRPM présenté par le THÉRAPEUTE AMÉTÉPÉ

Les infections génitalesLes infections génitales sont le plus souvent les conséquences de maladies sexuellement transmis...
03/01/2020

Les infections génitales

Les infections génitales sont le plus souvent les conséquences de maladies sexuellement transmissibles qui atteignent les trompes.
La salpingite est une inflammation des trompes due à une infection génitale. Elle peut être aiguë (c’est-à-dire que l’infection est récente) ou chronique (l’infection s’est produite dans le passé et persiste encore) et occasionner une obstruction au niveau des trompes. Les infections liées à une salpingite sont généralement dues aux germes Chlamydiae, les mycoplasmes ou les gonocoques. Ce sont des germes responsables de maladies sexuellement transmissibles, mais qui passent le plus souvent inaperçues.
Pour prévenir ces infections, il est recommandé de se protéger lors des rapports sexuels (surtout en cas de partenaires multiples ou occasionnels) et un suivi régulier chez son gynécologue est nécessaire.
Les autres infections

D’autres infections peuvent contaminer les trompes. En cas de péritonite (une infection du péritoine) par exemple, suite à une appendicite compliquée, la trompe peut être infectée.
Les infections utérines peuvent aussi boucher les trompes. En cas d’antécédent d’avortement ou de fausse couche, les cicatrices au niveau des tissus après ces événements vont se développer et constituer des obstacles au niveau des trompes. C’est le cas aussi avec un ou des antécédents de grossesse extra-utérine.
L’endométriose

L’endométriose est une affection gynécologique dans laquelle le tissu endométrial qui, normalement, recouvre la paroi utérine, se retrouve au niveau des trompes utérines. La présence anormale de cette muqueuse utérine au niveau des trompes va bloquer la progression des spermatozoïdes vers l’ovule et empêcher la fécondation.
Les séquelles chirurgicales

On parle d’une adhérence lorsque les parois des trompes se collent, empêchant le mouvement de l’ovule et du spermatozoïde. Ces adhérences sont parfois des complications post-opératoires. Elles peuvent se former suite à une appendicectomie ou une chirurgie des ovaires ou de l’utérus. Ces complications post-opératoires sont aujourd’hui rares car facilement maîtrisées.
Comment savoir si les trompes sont bouchées ?

L’obstruction au niveau des trompes est souvent difficile à détecter car il y a peu de symptômes (éventuellement certaines douleurs abdominales ou des sécrétions vaginales plus abondantes). Les consultations et les analyses ne sont effectuées que lors du bilan d’infertilité réalisé lorsque la femme qui désire un enfant, n’arrive pas à tomber enceinte, après avoir eu des rapports sexuels réguliers et non protégés pendant 1 an. Lors de ce bilan, en plus de l’interrogatoire et des examens cliniques, le médecin sera amené à prescrire plusieurs examens et analyses pour identifier le problème.
L’examen spécifique permettant de détecter une anomalie au niveau de la perméabilité des trompes est l’hystérosalpingographie. Elle consiste à injecter du produit opaque à partir du col de l’utérus et à suivre la progression de ce produit au niveau des trompes par une radiographie.
Outre l’hystérosalpingographie, le médecin pourra être amené à effectuer une hystéroscopie, un examen qui permet de visualiser la cavité utérine à l’aide d’un endoscope (une fibre optique) en passant par les voies naturelles.
Une cœlioscopie peut aussi être envisagée : sous anesthésie générale, elle permet d’examiner les trompes de « l’intérieur » avec un appareil optique après avoir réalisé une petite incision au niveau du nombril.
Anomalies des trompes, quel traitement ?

Le traitement dépendra de la cause de l’obstruction. Seul le médecin est en mesure de prescrire les médicaments ou méthodes de traitement adapté. La nécessité de traitement dépend essentiellement de l’état de perméabilité des trompes, de l’état des organes génitaux et de l'état de santé en général. Vous êtes tout à fait libre de discuter de toutes les panoplies de traitement qui peuvent s’offrir à vous pour trouver le plus adapté à votre cas.
Le médecin ..... ALORS APPELEZ IMMÉDIATEMENT LE DOCTEUR AMÉTEPÈ POUR TOUT SORTE DE TRAITEMENT GYNÉCOLOGIQUE PEU IMPORTE TA POSITION.

Tchad :+235 63197997/98252118 /93911100 Bénin : +229 97256359 /94347902
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