Journée mondiale de l'autisme
#EvénementSanté : Autisme, dépassons les préjugés !
Comment faire des courses avec un enfant autiste, le confier à son entourage, aménager sa chambre ? Autant de questions pour lesquelles vous trouverez des réponses concrètes sur le site "Deux minutes pour mieux vivre l’autisme" : bit.ly/2ImyV4I
En effet, la journée mondiale des troubles #autistiques se tient aujourd’hui, l'occasion d'en apprendre plus sur cette maladie #neurologique.
L’#autisme est lié à des anomalies très précoces survenant sur un cerveau en pleine croissance et apparaissant chez le fœtus avant même la naissance.
Il comporte des troubles de la communication et des interactions sociales associés à une restriction et une répétition des comportements, des intérêts et des activités.
C'est un trouble du neurodéveloppement, d’origine multifactorielle, qui peut être génétique.
Ces troubles ont des répercussions importantes sur la vie quotidienne et sociale et c’est l’incapacité de l’enfant à répondre aux exigences sociales qui alerte souvent les parents.
D’autres troubles peuvent y être associés :
- déficit intellectuel,
- anxiété,
- troubles du langage oral et écrit,
- troubles du sommeil, etc.
Les enfants et adultes autistes souffrent du regard porté sur eux.
Selon l'association de parents SOS Autisme, un nouveau-né sur 100 serait atteint de troubles du spectre de l'#autisme (TSA), dits aussi troubles envahissants du développement, sans vouloir dire pour autant que les autistes ne se développent pas.
On a même démontré qu’ils pouvaient apprendre quantité de choses, en fonction de leur potentiel propre.
Les caractéristiques de l’autisme peuvent être classées en trois catégories :
1. les relations sociales
2. la communication
3. l’imagination
C’est ce que l’on appelle la triade.
Elles peuvent apparaître sous différentes combinaisons et avec une intensité variable.
Par conséquent, les personnes autistes sont tr
Semaine du cancer
#EvénementSanté : Semaine Nationale de Lutte contre le Cancer
A l'occasion de cet événement, découvrons en vidéo comment se développe un cancer dans le corps humain et tordons le coup à quelques idées reçues...
Le nombre de cancers est en constante augmentation - FAUX
On détecte 385.000 à 400.000 nouveaux cas chaque année. Ce chiffre a longtemps progressé avec le vieillissement de la population et l'amélioration du diagnostic, mais, depuis 2005, la courbe s'inverse. Le nombre de décès diminue également.
Arrêter de fumer est la meilleure façon de réduire les risques - VRAI
Le tabac tue autant que l'alcool, la route, le sida, les suicides, homicides et drogues illicites réunis. Fumer accentue les risques de #cancer : poumon, vessie, pancréas, estomac, col de l'utérus, ovaires et sein.
Jeûner ou certains régimes peuvent aider à guérir - FAUX
Certains malades jeûnent ou se privent de viande rouge, pensant ainsi améliorer leur tolérance à la chimiothérapie sans preuve scientifique d'un éventuel effet curatif ou protecteur. Au contraire, la perte de poids et de masse musculaire peuvent aggraver les choses.
On peut le soigner avec de simples comprimés - VRAI
Les chimiothérapies sont de plus en plus proposées en comprimés. Les avantages : plus d'intraveineuse ni de déplacement à l'hôpital pour le patient.
Manger trop gras et trop sucré peut favoriser son développement - VRAI
Aux États-Unis, 49% des cancers de l'utérus sont liés à l'obésité. Notre vie quotidienne nous expose aussi à des risques environnementaux comme les pesticides ou le diesel.
Porter un soutien-gorge ou mettre du déodorant favorise le cancer du sein - FAUX
Aucune étude n'a montré un lien entre l'utilisation du déodorant aux sels d'aluminium et le cancer du sein. Idem pour le port du soutien-gorge ou du boxer pour les hommes.
+ de réponses : bit.ly/2DPmbSn / urlr.me/Acu5VZ
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#SemaineNationaleDeLutteContreLeCancer
Semaine du rein
#ÉvénementSanté : 1 personne sur 10 a les reins malades sans le savoir
La Semaine Nationale du Rein a pour objectif de sensibiliser sur l'importance des maladies rénales, affections silencieuses dont le diagnostic tardif multiplie les conséquences.
1 personne sur 10 est concernée par les maladies rénales mais l’ignore. Lorsqu’elle s’en rend compte, il est souvent trop tard.
Pourtant, en s’informant sur ces pathologies et les risques qui y sont associés et en se faisant dépister, il est possible de retarder, voire d’éviter ces maladies très lourdes (l’insuffisance rénale est souvent synonyme de dialyse et/ou de greffes).
Le surpoids, le diabète et l’hypertension artérielle sont autant de facteurs aggravants.
En effet, une personne sur deux arrivant au stade terminal de l'insuffisance rénale l'est en raison d'une #hypertension artérielle ou d'un #diabète de type 2. Or, ces deux pathologies sont liées à la façon dont on se nourrit.
L'hypertension artérielle peut résulter d'une alimentation trop riche en sel, en cholestérol et d'un manque d'exercice physique. La pathologie se définit par une pression trop élevée du sang dans les artères, ce qui abîme les vaisseaux de l’organisme, y compris ceux du rein.
Le diabète de type 2 est aussi favorisé par une alimentation déséquilibrée, trop riche en sucres, un surpoids et un manque d'activité physique.
La personne développe ainsi une résistance à l'insuline qui régule le taux de sucre dans le sang.
Ce taux s'élevant alors, l'hyperglycémie qui en résulte peut avoir progressivement des effets délétères sur de nombreux organes, comme le rein.
D'autant plus que la majorité des diabétiques de type 2 souffrent aussi d'hypertension artérielle.
Un dépistage régulier pour surveiller la santé de ses reins est donc conseillé. Celui-ci, très simple à réaliser, consiste en une prise de sang et une analyse d'urine.
Partout en France, des lieux de dépistage e
Semaine du cerveau
#ÉvénementSanté : 4 vérités surprenantes que vous ne connaissiez pas sur le cerveau !
Le cerveau est l’organe le plus complexe du corps humain. Siège de nos sensations, de nos pensées, de nos émotions, maître de nos mouvements, il est l’élément-clé du système nerveux.
La Semaine du Cerveau qui a lieu du 10 au 16 mars, a pour but de sensibiliser le grand public à l’importance de la recherche sur le cerveau. C’est l’occasion pour de nombreux chercheurs et chercheuses de rencontrer le public et de partager avec lui les avancées obtenues dans les laboratoires de recherche en neurosciences
Voici quatre choses à savoir sur le cerveau :
1. Petit mais costaud
Un petit chou-fleur... C'est la taille moyenne du cerveau qui pèse environ 1,3 kg.
Côté anatomie, le cerveau fait partie de l'encéphale, au même titre que le cervelet, qui gère l'équilibre, et le tronc #cérébral. Il joue un rôle fondamental dans la régulation du coeur et de la respiration. �
Il est protégé par le crâne et deux enveloppes, les méninges (la dure-mère et la pie-mère). Ces enveloppes contiennent un liquide, le liquide céphalo-rachidien, dans lequel il baigne.
2. 86 milliards de neurones
Le cerveau est composé de deux hémisphères, droit et gauche, fortement connectés entre eux pour échanger des informations nerveuses.
Son tissu nerveux comprend 86 milliards de #neurones, qui communiquent entre eux grâce à leurs jonctions, les synapses. Ils nous permettent de réfléchir, planifier, créer, imaginer...
3. Une tour de contrôle
Le cerveau est une sorte de tour de contrôle qui reçoit très rapidement les informations du corps, grâce à un réseau de câbles, les nerfs. Il commande un certain nombre de fonction, comme marcher, parler ou encore courir.
Le #cerveau ne représente que 2% du poids du corps. Et pourtant, il mobilise 20% de l'énergie utilisée par l'organisme sous la forme de glucose et d'oxygène apporté par le sang.
Mars bleu
#MarsBleu : Bougeons pour notre côlon !
Participez au défi national !
Seul ou en équipe, relevez les défis, courez, marchez pour comptabiliser un maximum de pas !
1. Télécharger l'app Kiplin (https://qrco.de/bbkEiO)
2. Créer votre compte
3. Rejoindre le jeu avec le code : CRCDCMARSBLEU
4. Donner les accès aux données et autorisations nécessaires
Mars Bleu c'est le mois du cancer #colorectal, un cancer qui touche chaque année plus de 43 000 personnes, soit près de 120 cas diagnostiqués par jour.
Le dépistage peut vous sauver la vie !
Il s'agit du 3ème #cancer le plus fréquent chez l’homme, après ceux de la prostate et du poumon et du 2ème après le cancer du sein chez la femme selon les derniers chiffres de l’institut national du cancer (INCa).
Le cancer colorectal, également connu sous le nom de cancer de l'#intestin ou cancer du #côlon, est un type de cancer qui se développe dans le côlon ou le rectum. Il se produit lorsque des cellules anormales dans la muqueuse du côlon ou du rectum se développent et se divisent de manière incontrôlable, formant une tumeur.
Les symptômes du cancer colorectal sont les suivants : diarrhée ou constipation, présence de sang dans les selles, douleurs abdominales ou crampes constantes, perte de poids inexpliquée, anémie, sensation que l’intestin ne se vide pas complètement et fatigue.
Cependant, certaines personnes atteintes d'un cancer colorectal peuvent ne présenter aucun symptôme.
La prévention du cancer colorectal implique d'adopter un mode de vie sain, y compris l'exercice régulier, le maintien d'un poids santé, une alimentation équilibrée riche en fibres et pauvre en viandes rouges et transformées, et éviter la consommation excessive de tabac et d'alcool.
Le dépistage du cancer colorectal est important, à partir de 50 ans, car il peut aider à détecter le cancer tôt lorsqu'il est plus traitable.
Les tests de dépistage courants comprennent les coloscopies, les
Comment soulager les poussées dentaires de votre enfant ?
#Préventionsanté : Comment soulager les poussées dentaires de votre enfant ?
Dès ses 6 mois, les premières #dents de votre #bébé vont apparaître. Certains enfants naissent avec une ou deux dents. Dans d'autres cas, les premières poussées #dentaires n'arrivent qu’à l’âge de 14 mois.
Généralement, à 3 ans, les 20 dents primaires sont sorties. Puis, les 32 dents d’adulte se développent dans les mâchoires et apparaissent entre 6 et 12 ans.
La poussée des dents peut être à l’origine de douleurs dues aux mouvements des dents dans l’os de la mâchoire, ou lors de leur passage à travers la gencive.
Les signes sont variables d’un enfant à l’autre et d’une dent à l’autre :
- salivation abondante
- sommeil perturbé
- fièvre ne dépassant pas 38°C
- irritabilité
- joues rouges
- #gencives un peu gonflées : bulle bleue sur la gencive
– un « kyste d’éruption », annonçant la percée d’une dent
Comment soulager bébé ?
Il n'existe pas de traitements mais des moyens simples pour soulager l’inconfort.
Frottez-lui doucement les gencives avec une débarbouillette imbibée d’eau froide enroulée autour de votre doigt.
Donnez-lui un anneau de dentition en caoutchouc. Choisissez-en un qui est incassable, qui ne s’effrite pas et qui est assez gros pour ne pas pouvoir pénétrer entièrement dans la bouche de votre bébé.
Évitez également le collier de noisetier ou d'ambre, car le bébé risque de s’étouffer si des billes se détachent et leur efficacité reste à prouver.
Ne donnez pas non plus à votre enfant des morceaux de légumes ou de fruits crus « durs » (pomme, carotte, céleri, etc.) avant l’âge de 2 ans afin de prévenir les risques d’étouffement.
Les biscuits de dentition sont également déconseillés en raison du sucre qu’ils contiennent pouvant causer des caries dentaires.
Les gels analgésiques topiques sont aussi à éviter car ils agissent de façon superficielle et risquent
La fièvre chez l'enfant
#InfoSanté : La fièvre chez l'enfant
Comment prendre la température ? Que faire pour faire baisser la fièvre ? Quels sont les signes d’inquiétude et quand consulter ?
La fièvre n’est pas une maladie, mais plutôt le signe d’une maladie.
La plupart du temps, la fièvre indique que l’organisme se bat contre une infection virale ou bactérienne. L’élévation de la température activerait le système immunitaire de votre enfant.
La #fièvre est donc un allié naturel qui témoigne de l’efficacité des mécanismes de défense du corps, plutôt qu’un ennemi à combattre.
En elle-même, la fièvre est le plus souvent sans gravité mais nécessite un traitement si :
- elle dépasse 38,5 °C
- elle persiste plus de 2 jours
- votre enfant a moins de 3 mois
- elle est mal supportée
La température du corps est de moins de 37,5 °C le matin et moins de 37,8 °C le soir.
On parle de fièvre si elle dépasse 38 °C lorsqu'elle est prise chez un enfant normalement couvert, non exposé à une atmosphère très chaude et n'ayant pas fait une activité physique intense avant la prise de température.
Prenez sa température à distance des repas, après 20 minutes de repos et en utilisant un thermomètre électronique (ceux à mercure sont aujourd'hui interdits).
Respectez l'hygiène et le mode d'emploi et en fonction de la voie choisie, pensez à majorer la température :
- voie rectale : la plus précise, elle ne nécessite pas de majoration de température.
- voie auriculaire (conduite de l'oreille) : déconseillée avant 2 ans, elle permet une mesure précise, mais difficile à utiliser chez l'enfant (conduit étroit, mouvements de l'enfant, résultat perturbé par la présence d'un bouchon de cérumen).
- voie buccale (enfants de + de 5 ans) : majorez la température de 0,5 °C
- voie axillaire (sous l'aisselle) : peu précise mais utile pour avoir une
évaluation, majorez la température de 0,6 °C.
+ d'infos : bit.ly/3ggduEp
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7 conseils pour protéger son bébé pendant l'hiver
#ConseilBébé : 7 conseils pour protéger son bébé pendant l’hiver !
L’organisme du nourrisson est fragile et il faut le préserver du froid, des virus et des rhums hivernaux.
1. Privilégiez la poussette au porte-bébé
Il est préférable d’installer votre tout-petit dans une poussette avec nacelle.
Si vous utilisez une poussette sans coque, ajoutez une chancelière ou un nid d’ange pour que votre #bébé soit bien au chaud. Une capote bien couvrante est nécessaire pour le protéger du vent parfois glacial.
Prudence avec le porte-bébé, il peut comprimer ses jambes et bloquer la circulation sanguine.
La régulation thermique du #nourrisson de moins de 3 mois est beaucoup moins efficace que celle de l’adulte et les pertes de chaleurs se produisent très facilement, particulièrement quand il est mouillé ou quand il a peu de mouvements actifs.
2. Superposez les vêtements
Les enfants doivent être plus couverts que les adultes particulièrement au niveau de la tête et des extrémités et être bien hydratés.
Optez pour des gants, un bonnet, une écharpe afin de protéger les extrémités.
En effet, c’est par la tête que le risque de déperdition de chaleur est le plus élevé.
3. Pas de sortie sous 0°C
Un nourrisson de moins de 3 mois de devrait pas sortir en cas de froid intense.
Le vent glacial le refroidit très vite et l’air froid peut abîmer ses voies respiratoires.
4. Ne surchauffez pas l’intérieur
Les variations de température entre l’extérieur et l’intérieur demandent à l’organisme un effort d’adaptation important, qui peut être préjudiciable au tout-petit.
Par ailleurs, une atmosphère confinée favorise la prolifération des bactéries.
C’est pourquoi il faut aérer chaque jour votre logement pour renouveler l’air.
La température ambiante ne doit pas dépasser 19°C. Si vous trouvez qu’il fait toujours frais, ajoutez un petit gilet à votre enfant.
5. Pensez à l’hydrater régulièrement
Dry january
#ActuSanté : Ça y est, le Dry January est lancé !
Ce défi aussi appelé "Mois sans alcool" consiste à ne pas boire une goutte d'alcool à partir du 1er janvier, jusqu'à la fin du mois (ou aux dates qui vous arrangent à condition de respecter le mois d'abstinence)...
L'occasion de mettre son corps (et son foie) au repos et de profiter des bienfaits d'une abstinence après les fêtes.
Le Dry January est le moyen idéal pour faire une pause dans notre consommation et notre relation à l’#alcool.
Il faut seulement quelques semaines pour casser une habitude et cela suffit pour s’engager dans un rapport plus modéré et plus sain.
Responsable chaque année de 28 000 nouveaux cas, la consommation d'alcool représente la deuxième cause évitable de mortalité par cancer et la première cause de consultation aux urgences.
Dans une étude menée par l'Université de Sussex en 2019 sur près de 3 000 participants au #DryJanuary, 71% ont expliqué avoir mieux dormi, 58% avoir perdu du poids, 57% avoir une meilleure concentration et 54% une plus belle peau.
Quels sont les bienfaits et effets sur le corps ?
1. Détoxifier son foie
Consommateur occasionnel ou régulier, le "Dry January" est un excellent moyen de booster le processus d'élimination des toxines dans son organisme et particulièrement dans son #foie, un organe qui assure de nombreuses fonctions essentielles de l'organisme.
2. Limiter sa prise de poids
L'alcool est très calorique et très sucré. Un gramme d'alcool représente 7 calories. Par exemple, un verre de #vin rouge ou de champagne contiennent 70 calories.
En effet, réduire voire arrêter sa consommation d'alcool permet de limiter la prise de poids, de par les calories non ingurgitées quand on troque son cocktail par un verre d'eau.
Par ailleurs, consommer de l'alcool a tendance à ralentir l'élimination des graisses.
3. Améliorer son sommeil
Une consommation d'alcool régulière ou en plus grande quantité peut favoriser ou ex
Bonne Année 2025
Toute l'équipe de la Pharmacie vous souhaite une excellente année 2025. 🎉🎊🥂🍾🥳
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Joyeux Nöel
Le Pére Noël 🎅 arrive... Toute l'équipe vous souhaite un Joyeux Réveillon ! 🎄🍾🎉🥂
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Le collagène pour lutter contre le vieillissement de la peau ?
#Infobeauté : Le collagène, l'arme ultime de lutte contre le vieillissement de la peau ?
Le vieillissement de la peau est un processus naturel qui concerne tout le monde. Avec l'âge, la peau perd en élasticité, en fermeté et en éclat.
Une des raisons principales ? La diminution de la production de collagène (dès l’âge de 30 ans). Heureusement, ce composant naturel peut être soutenu grâce à des compléments et des soins adaptés.
Depuis plusieurs années, le collagène est vanté pour sa capacité à réduire les effets du vieillissement sur la peau (rides, perte d’élasticité et d’épaisseur).
Le collagène est une protéine présente dans la #peau, les cartilages, les os, les muscles, les tendons et les ligaments, la paroi des vaisseaux sanguins, etc..
Dans la peau, il est produit par des cellules appelées « fibroblastes ».
Très fréquent, le #collagène représenterait environ un quart des protéines totales de notre corps et participe à la structure, l’élasticité et la régénération des organes qui en contiennent.
Parce qu’il est essentiel à l’élasticité de la peau, le collagène fait depuis longtemps partie des composants de nombreux cosmétiques destinés à ralentir le vieillissement de la peau. Plus récemment, des compléments alimentaires en contenant sont apparus, pour un objectif similaire.
Le collagène des compléments alimentaires est fabriqué à partir des os et de la peau des animaux ou de la peau et des arêtes de poisson (collagène marin) qui subissent un traitement pour augmenter la biodisponibilité de leurs acides aminés et/ou de leurs peptides.
Outre le vieillissement, certains facteurs externes accroissent également la destruction du collagène. C’est le cas notamment des UV, la cigarette, une mauvaise hygiène vie et le stress qui accentuent aussi le phénomène.
A contrario, il est possible de préserver ses fibroblastes en se protégeant du soleil, en adoptant une alimentation saine